Ecole du sexe (14)
Datte: 09/08/2021,
Catégories:
Hétéro
Tu es prête ? demandai-je à Alice. C’est aujourd’hui que ta dispense prend fin. Alice, encore emmitouflée dans les bras de notre lit commun, s’étira en baillant. Tandis qu’elle avait du mal à se réveiller, j’ôtai les couvertures de son corps sous ses plaintes matinales. Ses seins se révélèrent alors au grand jour, une trace de suçon au niveau du téton gauche dont, je ne peux que l’admettre, j’étais entièrement responsable. Non, s’il te plaît, encore cinq minutes, murmura-t-elle. Je veux bien, mais on raterait les cours du matin. Tu ne crois pas que ça ferait mauvais effet ? J’en sais rien, qu’est-ce qu’on a en premier. Jeu de rôle, dis-je en riant. Tu as réellement oublié ton emploi du temps ? Jeu de rôle ? poursuivit-elle en faisant fi de ma remarque. Je ne me rappelle pas de ce cours. Tu m’étonneras toujours, ris-je. Alice rit à son tour, mais puisqu’elle ne se levait toujours pas, je décidais de passer à la vitesse supérieure. Si tu n’es pas levée dans cinq secondes, je serais obligé d’appliquer la sentence des chatouilles. Tu n’oserais pas, dit-elle d’un air de défi. Cinq...quatre, commençai-je en la regardant amusé. Tu bluffes, dit-elle en me tapant légèrement la cuisse. Trois...deux...un... Je n’y crois toujours pas, petit cœur (le surnom qu’elle m’avait trouvé pendant ces quelques jours de répit). Zéro. Attention, continuai-je le sourire aux lèvres, monsieur Chatouillis arrive. Je m’approchai alors d’elle, les mains grandes ouvertes devant moi. Elle me regarda d’un air ...
... de défi, et décidant d’aller jusqu’au bout, je m’assis à califourchon sur elle, mon sexe reposant sur le bas de son ventre. D’une main je bloquai ses deux bras au-dessus de sa tête, l’autre agrippa son flanc. Non, Bastien, arrête. D’accord, tu as gagné, je me rends ! Arrête, d’accord, je vais me lever ! Trop tard, Alice. Monsieur Chatouillis ne repart jamais bredouille. Avec un visage euphorique, je commençai à chatouiller ma petite-amie au niveau des flancs. Étant très chatouilleuse, elle commença à hurler de rire tandis qu’elle s’agitait dans tous les sens possibles et imaginables. Mon bras avait de plus en plus de mal à contenir les deux siens, si bien que, après avoir torturé son ventre et ses seins, elle réussit à se libérer. Tu es un monstre, petit cœur, me dit-elle en me tirant la langue. Je sais, mais au moins tu es debout, ris-je. Bon, on va manger, Tang’Alice (son surnom à elle) ? Elle me fit oui de la tête et, me prenant par la taille, nous nous rendîmes dans le réfectoire. Il s’en était passé des choses depuis la mésaventure de ma bien-aimée. Le jour suivant les faits, Fabian avait été renvoyé. Ma sœur, Mylène, avait également retrouvé les cinq autre garçons ayant participé à cette abomination de par leurs visages. Eux aussi avaient été renvoyés fissa. Alice avait également décidé de porter plainte pour agression sexuelle. Il faudrait attendre plusieurs mois avant qu’un passage au tribunal ne soit décidé. Mylène devint ma seconde partenaire, mais suivre les cours ...