Municipales 2008... Prospection et promotion
Datte: 09/08/2021,
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... Lucette, ravie, se laissait faire en émettant des petits cris de satisfaction. J’allais intervenir pour expliquer à mon pote qu’il fallait savoir raison garder, mais je ne le fis pas. Incrédule, je regardais Lucette ravie, les yeux fermés, se laissant caresser en passant tendrement sa main dans les cheveux de son inattendu courtisan. Le copain, déchaîné, alternait maintenant le gros bisou dans le cou, accompagné d’une énergique prise en main de la poitrine, avec les baisers langoureux et gluants sur la bouche de Madame, visiblement comblée. Je regardais bêtement le spectacle de cette frénésie aussi délirante que surréaliste. Les gros seins, auréolés d’une couronne rose sombre et parsemés de petits boutons plus foncés, dansaient la gigue des masses abandonnées à la pesanteur. Lucette arrêta momentanément les effusions lubriques de Jean-Marc, me fixa gravement, trois secondes : — L’opération de mon mari devrait vous faire réfléchir, mon cher Pierre, la vie réserve de très mauvaises surprises parfois… Vivez l’instant présent, personne ne sait ce que sera demain… La vie est courte, et être en bonne santé ne dure qu’un instant éphémère ! Sur ce, elle se jeta fougueusement sur le copain, m’abandonnant à mes réflexions. Jean-Marc avait le pantalon sur les chevilles et guidait la main féminine dans l’ouverture de son caleçon à fleurs. Lucette, aux anges, couvrait de bisous le torse imberbe de son amant, tout en masturbant vigoureusement le membre masculin qu’elle avait sorti de son ...
... étui floral. Profitant du fait que Jean-Marc entreprenait de se dessaper complètement, je pris la suite… Je me demande encore aujourd’hui comment j’ai pu oser, car je n’avais encore jamais trompé mon épouse – sauf dans mes rêves érotiques où je me permettais de sodomiser régulièrement la pharmacienne hautaine, la directrice de l’école maternelle, catholique intégriste et, de temps en temps… ma belle-mère, veuve et dotée d’un cul gigantesque. Lucette jubilait, les seins dévorés et malaxés honteusement, le cou dévoré de bisous humides, le gros baiser hollywoodien de profil pour permettre à mes deux mains de trousser la jupe jusqu’au nombril, histoire de faire connaissance, à travers le fin tissu du slip, avec l’intimité de notre partenaire… par-devant et par derrière. Jean-Marc, seulement vêtu de ses chaussettes, curieusement dépareillées, aida Lucette à se débarrasser de sa jupe et entreprit de glisser la main sous la petite culotte. Un embonpoint naissant tendait trop le tissu fragile. En dandinant difficilement de la croupe, notre partenaire arriva à baisser elle-même la lingerie jaune canari, jusqu’à mi-cuisses. Je coiffai mon copain sur le poteau en m’emparant de la grosse foufoune, enrobée d’une toison brune et frisée. La longue fente, sombre et humide, s’ouvrit facilement sous la caresse délicate de deux gros doigts poilus qui s’autorisèrent à faire une petite visite plus approfondie. Lucette poussa juste un tout petit cri de surprise quand Jean- Marc, agenouillé derrière ...