Municipales 2008... Prospection et promotion
Datte: 09/08/2021,
Catégories:
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... pour rendre hommage à un arrière grand-père, tombé au champ d’honneur en 1918. L’aïeul, enterré avec une centaine d’autres fusiliers de Canterburry, tous âgés de moins de 21 ans, reposait dans un des cimetières militaires du village. Les British venaient en camping-car, le Maire ne parlait pas leur langue, j’avais un grand terrain… on devine la suite. Ils restèrent trois jours : réception en mairie, discours officiels, photos dans la presse locale… Nos adversaires faisaient la gueule et parlaient de récupération scandaleuse. Lors des trois repas que nous prîmes en commun (on n’est pas des sauvages quand même), mon épouse fut ravie de constater qu’elle arrivait encore à se débrouiller dans la langue de nos ennemis héréditaires. Le couple était sympa, des pharmaciens tous les deux. Le Monsieur, très longiligne et ancien basketteur universitaire, était plus âgé que son épouse. La dame, Betty, bien que ne dépassant pas la cinquantaine, était potelée… voire dodue pour sa petite taille. La veille de leur départ, un buffet froid, rapide et bien arrosé, fut servi en mairie, car le premier élu emmenait le pharmacien d’outre-Manche voir un match international de basket féminin à Valenciennes. Mon épouse alla dormir tôt car elle prenait avec ses copines, aux aurores, un charter vers Venise. La tête encombrée de vapeurs alcooliques, je fumais ma gauloise filtre sur un banc de la pelouse. L’intérieur du camping-car était fortement éclairé, merci pour ma facture EDF, les Britishs ! Ils ...
... étaient branchés sur une prise du garage. Je voyais la moitié supérieure de Betty passer devant les baies vitrées, en soutien-gorge bleu marine, décoré de petites fleurs rouge vif. Il n’y a que des Anglais pour inventer de la lingerie aussi moche. Betty aperçut le bout incandescent de la gauloise, me fit un petit signe d’amitié avant d’ouvrir la porte du véhicule. Elle désirait une bouteille d’eau minérale. La culotte de grande taille était parfaitement coordonnée au soutif, bleu marine, avec deux immenses fleurs rouge vif ! D’après les souvenirs brumeux qui me restent de cette soirée, dont je ne suis pas très fier, j’ai souvenir que Betty a lourdement insisté pour que je visite sa caravane à roulettes. Elle m’a avoué qu’elle avait de très bons souvenirs de deux camps de jeunesse, passés en Lozère profonde. Et puis, un trou noir, parsemé de flashes peu glorieux : je m’effondre sur le lit, couché sur le dos, les bras en croix, les paupières mi-closes. Betty rigole, elle ouvre ma braguette, sort ma queue et me suce frénétiquement ; je suis toujours allongé sur le dos, mais à poil, le pénis tendu vers le plafond. Betty, complètement nue, me chevauche et emprisonne ma tête entre ses cuisses molles ; elle frotte sa chatte rasée contre ma bouche, ouvre les lèvres avec ses doigts et me force à introduire ma langue dans son vagin ; elle se retourne pour que je lui lèche le cul, je refuse ; elle m’injurie en anglais, se lève, ouvre un tiroir, trempe ses doigts dans un pot ; sa main ...