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Diane raconte ses aventures... A la piscine.
Datte: 09/08/2021, Catégories: Entre-nous, Les femmes,
... seins pour le palper, pinçant légèrement le téton entre deux doigts. Etait-ce une invitation ? A mon tour j’ai caressé ses seins par-dessus le maillot puis, j’ai fait sauter l’agrafe du soutien gorge pour avoir le contact direct au creux de mes paumes. Les mains à plat sur ses seins, j’ai commencé un mouvement tournant qui, contre ma paume massait doucement ses tétons. Elle me dit en agaçant toujours les pointes de mes seins d’une main : • Continuez ! C’est très bon ! L’autre main avait disparu entre ses cuisses. Cela devenait de plus en plus chaud. J’ai pris sa bouche pour des baisers légers puis nos langues se sont unies et mélangées. Pour éviter d’être surprises (cela ne m’aurait pas gênée car je suis passablement exhibitionniste) nous sommes allées dans le sauna. A cette heure de la matinée, il n’est jamais occupé. Dans la chaleur moite, j’ai fais glisser mon maillot et Aï ko en a fait autant avec le sien. Son pubis était garni d’une toison peu dense, très noire et taillée en triangle. Nous nous sommes enlacées en nous embrassant à nouveau à pleine bouche. Je frottais mes seins contre ceux d’Aï ko et j’avais glissé une jambe entre les siennes pour exercer des pressions contre son pubis avec ma hanche. Mes bras enserraient sa taille et mes mains étaient plaquées sur ses fesses. Le destin nous avait fait nous rencontrer. Nous étions toutes les deux des bisexuelles, aimant indifféremment les femmes et les hommes. La chaleur nous faisait transpirer, nos mains glissaient ...
... facilement sur notre peau. Quand nous avons été bien chaudes toutes les deux, une des banquettes nous a accueilli pour un 69 des plus savoureux qui nous a conduit à l’extase. Une douche froide et un bain froid au sortir du sauna nous a calmées quelque peu. Mais l’une et l’autre, nous étions prêtes à d’autres folies. J’interrogeai Aï ko sur d’éventuels projets : Elle aussi n’avait rien de prévu et elle a accepté mon invitation à venir finir la journée chez moi. Dès notre arrivée, le grand lit de la chambre nous a accueillies pour une nouvelle étreinte saphique. Mais là, coquine au possible, j’avais au préalable averti discrètement Hervé pour qu’il branche son ordinateur portable et j’avais mis en route les trois caméras qui sont cachées discrètement dans la chambre. Ainsi, il pourrait à distance se rincer l’œil et en plus, nos ébats seraient enregistrés ! Lentement pour qu’Hervé n’en perde pas une miette, nous nous sommes déshabillées mutuellement en échangeant baisers et caresses sur les endroits sensibles que nous avions découverts dans le jacuzzi et le sauna. Une fois nues, nous nous sommes allongées sur le lit, les fourches de nos cuisses en contact pour frotter nos vulves l’une contre l’autre. Une nouvelle fois bien excitée par la situation, j’ai glissé une main sous le traversin pour aller chercher mon gode à deux têtes. Je n’ai pas eu besoin de l’imprégner de salive ou de gel. Nous étions toutes les deux tellement humides que je suis entrée sans difficulté aucune dans la ...