1. Belle fille(s) (5)


    Datte: 09/08/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Belle fille 5 Le lendemain, alors que Brigitte fait sa toilette, Aurélie me dit : « Vous avez fait du bruit, maman et toi hier soir, elle a crié fort ! » Je la serre contre moi et lui avoue : « C’est à toi que je pensais quand… » « Oh, mon chéri ! Tu penses à moi quand tu fais l’amour à une autre ! » Je ne sais si elle me taquine ou si elle est réellement jalouse de mon épouse. Quand elle m’embrasse avec fougue, j’oublie toute inquiétude. « À ce propos, ta sœur m’a demandé quelque chose de particulier … » Je lui expose qu’elle désire que je la sodomise et souhaite son accord. « Elle veut que tu l’encules, c’est ça ? » « Ne sois pas grossière, dis plutôt que je la sodomise! » « Si tu dois enculer quelqu’un, ça sera moi d’abord ! » Elle continue à proférer des vulgarités, sans doute pour me provoquer. « Mais … Ma chérie, je ne souhaite pas te faire mal ! » « Qu’est-ce que tu en sais ? J’ai envie d’essayer et ça sera moi la première, elle attendra ! » Aurélie a du caractère, je le sais depuis longtemps ! J’aime quand elle me mène par le bout (du nez). Je lui réponds : « J’en suis flatté chère madame ! » Je me penche pour l’embrasser au moment où Brigitte revient. Elle a failli nous surprendre ! Aurélie me tend sa joue, que je bise. Mon épouse semble ravie de mon geste démonstratif d’affection pour sa fille et m’en félicite. Si elle savait ! C’est en fin de matinée que Laetitia nous revient. Elle est d’humeur maussade et personne n’insiste pour en savoir plus. Vers midi, le ...
    ... téléphone sonne, je décroche sur ma belle-sœur, Françoise. C’est une femme que je n’apprécie pas beaucoup, à part sa grosse poitrine. Elle est caractérielle, souvent déprimée ou bien, au contraire, délurée au point d’être parfois vexante. Le courant ne passe pas entre nous. Les filles non plus ne l’aiment pas, ça me conforte dans mon jugement. Je m’empresse de donner le combiné à mon épouse et les laisse converser. Je profite de ce moment pour aller, en cachette, caresser furtivement les épaules d’Aurélie. Laetitia nous rejoint et j’interromps mon toucher. Même si elle sait tout, je préfère l’intimité avec sa sœur. Nous allons tous trois sur la terrasse, alors que Brigitte s’est assise sur le canapé et discute avec sa sœur, durant un long moment. Voyant la mine, toujours déconfite, de Laetitia, je m’en enquière de la raison. A voix basse, elle nous raconte : « Hier, il y avait encore le meilleur pote de Florian, mon petit ami. Ils ont voulu que je boive, mais j’ai refusé. Après, j’ai bien voulu faire l’amour avec eux, mais son pote voulait absolument prendre mon derrière. Comme j’ai refusé, Florian lui a tendu ses fesses et l’autre l’a empalé d’un coup. J’ai compris qu’ils ont l’habitude de faire ça ! J’ai compris aussi que mon mec est un pédé ! » Je lui réponds : « Pourtant, toi et lui …. » « Ben oui, je croyais ! En tout cas, lui et son pote ont remis ça dans le lit. Moi j’ai dormi sur le canapé pendant que mon mec se faisait niquer ! » D’un geste tendre, je l’enlace ...
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