1. COLLECTION COCU. J’ai fait la pute. (3/4)


    Datte: 10/08/2021, Catégories: Dans la zone rouge,

    Jupe, corsage, bas sur porte-jarretelles mon employeur m’a donné des moyens en me proposant une carte Gold d’un montant de 10 000 €, chaussures talons 14 centimètres à éviter les 16 comme je l’ai fait une fois ce qui m’a value une belle entorse et la perte de trois rendez-vous, valise pour mettre les fouets, godes et surtout préservatifs. Je suis tête en l’air, j’oublie l’objet indispensable pour faire de vous une pute qui va faire sauter la banque, le petit sac baise en ville qui va vous servir à ranger l’enveloppe après vérification comme je l’ai fait avec Henri avant d’accepter de le sucer, je le vois dans une boutique et je complète ma panoplie. Après être revenu dans l’hôtel ou la porte de communication avec la chambre de mon beau-père, amant voire souteneur est ouvert me montrant qu’il est absent alors je me pomponne me maquille sans outrance et à l’heure dite le taxi me dépose sur le lieu de mon rendez-vous. J’ai autant le tract que pour ma première passe malgré mon expérience entrant dans le bar d’un seul regard je sais qui m’attend pour me baiser. Les hommes qui vous donnent rendez-vous au bar son pressé de vous faire monter, neuf fois sur dix ils sont mariés craignant que des gens qu’ils connaissent ne les voient avec vous. • Natacha ? Non Cunégonde espèce de gros con, avec ma tenue de pute et ma valise je suis une bourgeoise qui vient jouer au rami avec un monsieur d’un certain âge pour éviter de dire d’un âge certain. J’espère que le photographe va débarquer ...
    ... rapidement, avec mon expérience c’est le genre de client qui met un temps infini avant de bander. Je vois un jeune mec beau gosse avec qui j’aurais préféré me faire tringler mais un contrat est un contrat et je suis ma barrique vers l’ascenseur. J’ai le temps de voir mon beau gosse porter sa main au revert de sa veste et les portes de l’ascenseur se referment. C’est bien ce que je pensais, il sent la sueur et l’eau de toilette bon marché et a la délicatesse de me passer la main aux fesses, heureusement sa chambre est au premier et c’est avec une carte informatique qu’il ouvre la porte. Ignorant comment le photographe va entrer mais je fais confiance à Henri pour avoir pensé à ce détail j’espère de plus en plus que le photographe va abréger mon calvaire c’est pour cela que dès la porte franchie il me faut encaisser les biffetons le plus tôt possible, me dévêtir en même temps que je vais faire sauter les boutons de la grosse vache. • As-tu mon fric ? • T’es pressé, j'ai payé pour la nuit devant moi. • Une fois que tu m’auras payé et que j’aurais vérifié la somme, nous aurons tout notre temps mon gros nounours, un jour un de mes clients à refuser de me payer à la fin de ma prestation cela m'a servi de leçon, en plus j’ai perdu du temps et une paire de bas, alors si tu rechignes à me donner mon pognon je me tire. • T’as un joli petit cul bien ferme, voilà l’enveloppe. Ouf le coup est beau, en m’allongeant rapidement il aurait pu avoir des doutes sur ma participation à l’arnaque qu’il ...
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