1. Christine VI : Midlife Crisis (19)


    Datte: 10/08/2021, Catégories: Hétéro

    A 6h du matin, le smartphone de Mélissa nous réveille. Je lui dis qu’il est très tôt. Elle répond qu’elle a envie de prendre son temps. Nous faisons ainsi l’amour lentement et tendrement. Le soleil se lève, inondant petit à petit la chambre de ses rayons. Mélissa est particulièrement en forme et ce rapport est sublime. Je me rendors quelques instants après avoir joui. A 7h30, nous retrouvons la plupart de nos collègues au petit-déjeuner. Fabienne l’a visiblement pris en chambre. Mélissa et moi remontons nous habiller. Je toque chez Fabienne. Elle n’est pas dans sa chambre. Mélissa n’étant pas encore prête, je descends seul et retrouve Fabienne et Sabrina dans la salle. Fabienne, en tailleur jupe gris, est dans un état de stress pas possible. Elle tremble et elle a des tics nerveux. Alors que Sabrina va chercher une bouteille d’eau, j’entraine Fabienne à l’extérieur de la salle et nous descendons une volée d’escalier. Un accès au parking. J’essaye d’ouvrir une porte puis une autre. La seconde cède : il semble s’agir du réduit du concierge. J’allume la lumière puis j’embrasse longuement Fabienne. — Encore… Nouveau baiser. Sa main caresse mon entrejambe. Je remonte sa jupe. Elle a remis un porte-jarretelles. J’écarte son string et la lèche avec ardeur. Elle jouit. — Ça va être l’heure, il faut que… Je déroule une capote sur ma queue. Fabienne proteste, commence à replacer sa jupe et me met sa montre devant le visage. 8h26. Je la tourne, remonte la jupe. J’écarte une nouvelle ...
    ... fois son string et glisse dans son vagin. Elle est trempée. Pas de chichis : je la prends très vite, très fort. Je jouis rapidement, à bout de souffle, et me retire immédiatement. Elle replace son string et sors de la pièce. Je remonte à mon tour quelques instants plus tard. En entrant dans la salle, je crois le regard de Fabienne qui me sourit et me fait un clin d’oeil. Son allocution se passe parfaitement bien. A midi, nous avons juste le temps de remonter dans les chambres pour nous changer. Le leggings de Mélissa me rend fou et alors que je lui caresse les fesses dans l’ascenseur, elle me murmure qu’elle espère que nous aurons un peu de temps pour nous éclipser durant l’après-midi. Sur la vaste terrasse, on nous explique que le "team building" est une course d’orientation. On nous donne un pique-nique, une carte, une boussole, un GPS et une montre. Les équipes de deux sont tirées au sort au départ, puis, selon un système assez astucieux, on se retrouve avec un autre équipier à chaque poste de contrôle. Ainsi, il n’y a qu’un seul vainqueur. Malheureusement, je ne verrai ni Mélissa ni Fabienne de tout l’après-midi. Je prends beaucoup de plaisir à participer à cette course et j’ai droit à une "cerise sur le gâteau" durant vingts minutes. Celles que je passe en compagnie de Cornelia, une collègue germanophone qui travaille dans une autre succursale. Cette grande blonde athlétique, dotée d’une généreuse poitrine, est connue comme le loup blanc dans l’entreprise pour faire tourner ...
«123»