La douleur apaisée - Histoires de Sexe

La douleur apaisée

... perdu puisqu’elle me demande si je sais faire un pansement. Un peu gêné je lui explique que je n’ai jamais l’utilité d’en faire jusqu’à aujourd’hui. Elle m’explique succinctement la marche à suivre mais devant mon air peu convaincu elle décide de passer à une autre méthode. — S’il est mal fait ça risque de se s’infecter, on va vous montrer comment faire, venez avec moi, me dit-elle. Je la suis dans l’arrière-boutique et la voilà qui appelle quelqu’un. — Clara ! Tu peux venir une minute j’ai besoin de toi là ! lance-t-elle dans le vide. Voilà alors que sort une petite brune de derrière une pile de cartons plus haute qu’elle. 1,65m, fine, une queue de cheval stricte, 25 ans tout au plus et un regard émeraude à faire pâlir d’envie le soleil de ces derniers jours. — Monsieur a besoin d’apprendre à faire un pansement pour son genou, je n’ai pas le temps avec le monde à l’accueil tu peux t’en charger ? lui demande la pharmacienne.— Oui bien sûr, sans problème, suivez-moi, nous répond cette belle créature. Je la suis jusqu’une petite pièce pleine de cartons, elle s’absente quelques secondes et revient avec une chaise pour me faire asseoir. — Si vous voulez bien retirer votre pantalon, je vais vous montrer la marche à suivre, me lance-t-elle sur un ton assez ferme mais toujours souriante. Un peu gêné je m’exécute et lorsqu’elle me montre la chaise je m’y assois sans discuter. Elle passe des gants chirurgicaux et enlève le pansement mis à la hâte. — Ça va, c’est propre, ça ne sera ...

... pas trop compliqué vous verrez, me dit elle alors qu’elle s’agenouille devant moi pour regarder mon genou de plus près. Sa position m’offre une vue surprenante, j’ai une vue plongeante sur son décolleté et ses seins me semblent magnifiques et je parviens tant bien que mal à masquer mon érection naissante. Je ne suis pas discret dans mon observation à tel point qu’elle claque des doigts juste devant moi en s’offusquant légèrement : — C’est à votre genou que vous devriez accorder autant d’attention, mes seins n’ont pas besoin de pansements ! Honteux je baisse la tête et m’excuse platement. Alors qu’elle reprend son explication, cette fois-ci je ne détourne pas le regard et reste figé sur ses gestes que je devrai reproduire. En deux minutes elle a terminé et s’éloigne de ma jambe visiblement ravie d’elle-même. Alors que je me relève je m’aperçois trop tard que mon érection est loin d’être passée, et maintenant que je me tiens droit elle est immanquable pour mon infirmière improvisée. — C’est moi qui vous fais cet effet là ? me taquine-t-elle le regard posé sur mon entrejambe. Je balbutie quelques mots de partir dans une excuse moisie de fatigue à cause de ma mauvaise nuit. — Oui, je comprends, me rétorque-t-elle, mais je ne peux pas vous laisser partir dans cet état, c’est mon devoir médical ! Assis ! m’ordonne-t-elle. Devant mes doutes elle ouvre sa blouse et son chemisier offrant ses seins à mes yeux ravis ! Sa poitrine ferme n’est pas très grosse mais s’accorde à la perfection ...