Les heures supplémentaires, ça a du bon
Datte: 10/08/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
Collègues / Travail
fsoumise,
chantage,
Masturbation
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
... devrait largement suffire. Je téléphonai donc à Élisabeth et lui dis qu’elle avait sept jours pour tout boucler. Elle parut soulagée et m’assura que tout serait prêt à temps. Sept jours plus tard, je me rendis donc à l’improviste dans le bureau d’Élisabeth pour récupérer son bilan qui devait être prêt. Me voyant entrer, elle se précipita vers moi avec un air de soumission. — Je suis désolée… je n’ai pas encore fini, je fais tout ce que je peux, mais il y a des problèmes de compta qui sont apparus…— Vous vous foutez de moi ! Ça fait une semaine que ça devrait être fait !— Mais j’ai beaucoup de travail en ce moment…— Je m’en fous ! Demain soir, je passe à 18 h dans votre bureau et si tout n’est pas prêt, vous êtes en tête de liste des prochaines personnes licenciées !— Mais enfin, monsieur…— Il n’y a rien à ajouter ! Au boulot ou c’est la porte ! Furieux, je ressortis du bureau sans avoir eu beaucoup de temps pour admirer la petite robe noire qu’elle portait. La journée du lendemain passa rapidement et alors que la plupart des employés avaient quitté les lieux, je me rendis à nouveau au bureau d’Élisabeth. — Sébastien, asseyez-vous ! Je termine ! Je m’installai donc dans le fauteuil en face de son bureau et la regardait pianoter sur son ordinateur. Elle portait un chemisier rouge dont plusieurs boutons n’étaient pas attachés. Au bout d’un moment, elle se leva et se dirigea vers la porte. Je vis qu’elle portait également une jupe noire courte et très moulante, des jambes ...
... gainées de noir ainsi que des bottes noires à talons s’arrêtant sous les genoux. Je la vis fermer le verrou de la porte et se diriger vers moi avec un déhanché bien accentué. D’un coup, je me dis que sa réputation de « promotion-canapé » ne devait pas être usurpée ! Elle s’approcha de moi et arbora un sourire d’excuse. — Je suis désolée mais en fait, je n’ai pas pu finir votre dossier…— Vous ne me laissez pas le choix. Je vais devoir en référer au patron et attendez-vous à ne pas faire long feu ici !— Mais on ne pourrait pas s’arranger ?— Qu’entendez-vous par là ?— Je ne suis peut-être pas douée pour la comptabilité mais j’ai d’autres talents vous savez… À ces mots, elle déboutonna la moitié des boutons encore attachés. — On pourrait discuter un peu, apprendre à se connaître et ainsi mieux travailler ensemble, ajouta-t-elle tout en me caressant l’épaule.— Je vois. Mais pensez-vous qu’une simple discussion puisse régler tous ces problèmes ?— Mais discuter peut être le début de beaucoup de choses ! Elle vint s’asseoir à califourchon sur moi, passant ses bras autour de mon cou. Sa jupe remonta suffisamment pour laisser apparaître une partie des liserés de ses bas. — Je suis sûre que nous allons nous trouver de nombreux sujets de discussion communs… Me voyant regarder ses bas, elle prit ma main gauche, la posa sur sa cuisse et la fit remonter, retroussant sa jupe et dévoilant le bas dans son intégralité ainsi qu’un bout de cuisse à nu. — En voilà déjà un premier… À ces mots, elle ...