Une Situation de Voyeurisme
Datte: 11/08/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... et moi qui, à cinq mètres, la regardait avec désir et trouble... Parfois, et cela m'excitait encore davantage, une fois sa robe légère relevée, elle ne baissait pas sa culotte, mais passant la main droite devant et la gauche derrière, elle en dégageait le fond de sa culotte et l'escamotait sur un côté au niveau de son entrejambes, et s'accroupissant elle urinait... Je voyais à loisirs son joli minou assez poilu me semblait-il (je n'avais à l'époque que très peu de termes de comparaison!). Parfois il m'arrivait de voir sa fente ouverte et bordée de poils et même aussi le clitoris qu'elle avait assez long et plutôt fort, qui sortait de la touffe de ses poils bruns... Puis, ayant terminé, en prenant son temps elle se réajustait en remontant sa culotte et là assez souvent, enfin je l'ai vue de nombreuses fois, elle passait sa main droite sur son bas-ventre, et s'empoignait le pubis et pressait très fort, ses doigts sur sa fente. Elle s'essuyait ainsi avec sa culotte dont elle faisait entrer le fond dans sa fente pour essuyer les gouttes restantes... Parfois aussi et c'était bien le cas environ une fois sur trois ou quatre, elle frottait le plat de sa main sur son pubis, à travers le slip d'abord, puis descendait à son entrejambes. Là, ses doigts écartaient le bord de la culotte et elle se masturbait, en lâchant généralement sa robe qui retombait alors, masquant à ma vue le détail de son mouvement. Sa main gauche passait derrière ses fesses et caressait je le suppose, sa raie ...
... culière et l'arrière de sa fente. Le plus souvent la jouissance montait rapidement, en une demi-minute à peine, rarement plus, et elle éclatait assez vite. Je reconnaissais alors les gémissements que j'entendais le soir de mon lit... Il faut dire (je l'ai compris plus tard!) que la pauvre fille était tellement en manque à cause de son ivrogne de mari!... Une fois, je me souviens, elle cessa de se masturber avec sa main droite ; puis de façon très décidée et presque avec hargne, elle saisit une fourche à foin posée derrière elle. Le manche de la fourche, comme celui de tous les outils de ce genre, était lustré et policé par les mains des hommes qui les maniaient à belles journées. Elle piqua les pions de la fourche dans la terre battue de la grange et tenant solidement le manche incliné devant elle, elle l'enfourcha, l'enserrant entre ses cuisses, elle se frotta l'entrejambes et le pubis sur le manche en gémissant. Cette fois-là, elle avait joui plus rapidement encore, avait reposé la fourche et était sortie promptement... J'allais tout de suite à la fourche, examinais et sentais le manche où l'instant d'avant la féminité de celle que j'appréciais le plus, objet convoité de mon adolescence, s'était frottée. Le manche était encore humide et luisant du plaisir de la petite Linette... Lors de ces épisodes dans la grange, me voyait-elle? Savait-elle que j'étais là? Je me le suis toujours demandé. Mais, venant de l'extérieur et de la pleine lumière, peut-être lui aurait-il fallu ...