Ma meilleure amie me demande de déniaiser son fils
Datte: 14/11/2017,
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Première fois
... je suce le membre avec application, me doutant qu’il ne pourra pas tenir longtemps avant de décharger tout son foutre. Il ne peut articuler le moindre son, mais conscient de son imminente jouissance, il arrache ma bouche-four de son gland en tirant fort sur mes cheveux. J’halète, les yeux révulsés, mes deux mains serrant le formidable engin de plus belle, seins tendus et la chatte en feu. Je balbutie : -Sais tu que ton canon est d’un tel calibre que ma bouche grande ouverte n’a pu en goûter que la gueule ? Claude n’a pas l’air de comprendre ce que je viens de dire. En revanche, il s’enhardit et rit, presque bêtement, en agitant son sexe gonflé, qu’il tient par la racine. Je n’en peux plus. Comme une folle, je grimpe sur le lit, chevauche le ventre de Claude et écarte mes genoux au maximum. S’emparant de la hampe en son milieu, j’en promène trois ou quatre fois la tête lisse sur mes lèvres trempées. J’ai connu un homme avec un membre presque aussi imposant, j’avais cru être fendue en deux par ce gourdin qui avait pénétré mes chairs enflammées. Comment ça va se passer avec ce monstre ? A califourchon sur la pine énorme de Claude, je repousse mon maillot puis écartant le plus largement possible les replis de ma vulve, j’essaie d’introduire le membre que je crois trop imposant pour mon vagin, je m’empale en poussant un cri de démente. Perdant toute raison, je m’assieds le plus loin possible sur la formidable trique, m’empalant sur sa verge qui petit à petit s’enfourne dans mes ...
... entrailles. Claude jette ses mains comme pour une gifle sur chacune de mes hanches, rentre ses fesses dans le matelas et rebondit comme un diable en poussant un cri de fauve en tirant comme un forcené sur mon corps. Je reste un instant sans bouger, persuadée que la lance m’a transpercée de part en part, j’ai l’impression que mon vagin a éclaté comme du caoutchouc sec sous la poussée sauvage de cette colonne de béton armé. Je pousse un hurlement de douleur. J’ai perdu la raison, car inexorablement je laisse le jonc vigoureux dévaster mes muqueuses, je n’essaie même plus de me retirer, trop excitée par ce que je suis en train de vivre. Son premier jet gicle comme une fusée qui viendrait se ficher dans mon cœur. Ma jouissance est telle que j’ai la sensation que des tenailles chauffées à blanc m’arrachent les entrailles. Je m’affale dans un cri inhumain, empalée jusqu’à la garde sur ce gros dard dont un bon bout reste visible et qui envoie son venin au fond de ma matrice par saccades successives. J’hurle et sanglote d'un atroce plaisir hystérique de mon corps supplicié par moi-même, la jouissance me convulse, je jouis sans discontinuer jusqu’à l’évanouissement qui me laisse pantelante contre le corps de ce mâle hors-du-commun. Claude s’est tari, j’ai réussis à m’extraire de sa verge mais il est toujours raide. Alors, quitte à m’ouvrir en deux, j’entreprends, à une allure folle, d’astiquer de nouveau, par grands coups désordonnés, cette hampe impériale. Mais il faut que je pense à ...