Cocu, vous avez dit cocu ? - Histoires de Sexe

Cocu, vous avez dit cocu ?

Résumé des épisodes précédents : Sous prétexte de vengeance, ma femme me trompe avec mon meilleur ami. Elle révèle une nature de salope et m’invite à assister à ses ébats adultères dans notre lit conjugal. (Voir la liste des titres en fin de récit) Puis soudain, plus un mot. J’entendis alors le bruit d’un tiroir qu’on ouvre puis qu’on referme, puis : — Tiens, chéri, mets ça ! Je préfère que tu me baises avec une capote, on ne sait jamais.— Je ne le crois pas, tu avais préparé des capotes ? Ne t’inquiète pas, je suis sain, c’est sûr.— Oui, quand j’ai appris que mon mari avait fricoté avec ma copine, je me suis juré de le faire cocu. Alors j’ai acheté des capotes. Il n’y a pas que le SIDA ou les autres maladies qui me tracassent. En fait, en ce moment je ne prends pas la pilule.— Quoi ? Tu veux dire que je viens de te baiser comme si tu étais ma femme, sans protection ni aucun contraceptif ?— C’est ça, j’ai pris le risque, mais il ne faut pas jouer avec le feu. Tu te rends compte si en plus de tromper mon mari, je lui annonce que je suis enceinte de mon amant ? Par la bouche, tu peux me remplir de sperme tant que tu veux, mais par le vagin, je risque de tomber enceinte.— Ce serait la meilleure de l’année, te faire remplir de foutre devant ton mari et tomber en cloques de mes œuvres. Dis donc, ma belle, je me doutais que tu étais une bonne affaire, mais pas à ce point-là. Tu es vraiment une sacrée garce.— Tu aimerais me mettre enceinte ?— J’aimerais bien te baiser pour ça, mais ...

... je ne sais pas si ton mari serait enchanté.— En fait, on essaye depuis plusieurs mois et ça ne vient pas, mais je ne veux pas le faire avec un autre sans lui dire. D’ailleurs je ne sais pas s’il accepterait une petite contribution de ta part.— Si tu veux te faire engrosser, ce sera une très grosse contribution de ma part.— Tu ferais ça ?— Je vais venir te remplir le ventre tant qu’il faudra.— Qui sait, ce sera peut-être pour bientôt. Puis des bruits divers, froissements, chuintements, me parvinrent. J’imaginai Philippe entre les cuisses de ma femme qui aimait beaucoup se faire prendre dans cette position. Elle écartait et remontait ses cuisses pour ouvrir sa fente au maximum ; son con, non seulement s’offrait, mais venait au-devant des coups de boutoir du mâle qui la chevauchait, en l’occurrence un autre que moi en cette funeste journée. Elle commenta : — C’est bon, tu sais d’avoir ta belle queue dans mon con ! Mais je la préférais tout à l’heure, au naturel et sans caoutchouc. Tu baises souvent avec une capote ?— Toujours, sauf quand je suis avec une femme comme toi et que je peux être certain qu’elle ne prend pas trop de coups de quéquettes, en dehors de ceux que lui met son mari, et moi bien sûr. Pas toi ?— C’est la première fois. J’ai commencé à prendre la pilule avant de me marier et c’est Bernard qui m’a dépucelée. À un moment, on a été un peu en froid et j’ai fait la connaissance d’un autre type avec qui j’ai couché un soir de bringue. Cet imbécile m’a fourré sa petite ...