1. Clarisse et moi (1)


    Datte: 11/08/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... avant de me faire un baiser savoureux sur la joue gauche. Après lui avoir acheté ce très joli maillot deux pièces noir qui a su faire l’unanimité entre nous deux, Clarisse ainsi que moi-même sommes tranquillement rentrés à la maison dans la joie et la bonne humeur d’être entre frère et sœur. Une fois rentrés, nous nous reposâmes un petit peu dans le canapé, devant la télé. J’étais assis, Clarisse quant à elle, était confortablement allongée sur celui-ci, avec comme oreiller : ma cuisse droite, sur laquelle sa tête reposait. Rapidement, nous sombrâmes aux côtés du sommeil, celui-ci ne resta qu’une courte durée, pas plus d’une demi-heure à nos côtés, puis partit nous attendre à l’étage, jusqu’à l’heure de notre couché. À mon réveil, je vis en premier lieu : Clarisse, qui elle dormait toujours. « Qu’est-ce qu’elle est belle », me dis-je tout en caressant tendrement sa douce chevelure de soie. Pour tout vous dire, dans la position à laquelle j’étais, j’avais une vue imprenable sur son si joli décolleté. Celui-ci m’attirait, m’envoûtait, me subjuguait, mes yeux en étaient prisonniers. Je savais très bien que c’était immoral de pouvoir penser une telle chose envers sa sœur, mais sachez que je la désirais désormais plus que jamais. Quelques minutes plus tard, le sommeil la quitta, et me réveilla de mon « état second » par la même occasion. lwvlggfu — J’ai dormi longtemps ? Me demanda-t-elle en tournant la tête vers moi. — Assez longtemps pour que je m’endorme également, lui ...
    ... répondis-je en lui souriant. — T’es réveillé depuis quand ? — Cinq, dix minutes à peu près et toi : à l’instant. — Merci en tout cas de bien veiller sur moi, me dit-elle munie d’un sourire rayonnant. Clarisse se redressa calmement, l’esprit encore un peu somnolant. Je me levai du canapé, non plus sans complexité, me fis un thé puis demanda à Clarisse si sa personne en voulait un également. — Oui, volontiers ! Me répondit-elle après s’être levée. Une fois prêt, je lui servis donc celui-ci puis finis de préparer le mien le temps que le sien refroidisse légèrement. Puis nous discutâmes gentiment de tout et de rien, rafraîchis agréablement par la douce brise du vent. À un moment, Clarisse se rapprocha petit à petit de moi, posa sa douce main sur la mienne, puis m’a dit ceci : — Je sais que je me répète mais je ne te le dirais jamais assez, Merci. Jamais je n’aurais pu ne serait-ce qu’imaginer la chance que ce serait d’avoir un grand frère comme toi à mes côtés. Sache que, si tu as besoin de quoi que ce soit je suis toute à toi, n’hésite surtout pas. Ses mots me firent réfléchir et frémirent à la fois, j’y réfléchis donc à deux fois, puis sauta sur l’occasion et l’embrassa avec passion. Au début, elle fut lentement étonnée, mais sembla très rapidement appréciée. Je savourais chaque moment de cet agréable baiser telle une belle et délicieuse glace en été. C’était si doux et si sensuel à la fois, que ni elle ni moi ne pensions à quoi que ce soit. Nous nous embrassions à pleine bouche avec ...