La vielle chatte et Alexandre 1
Datte: 11/08/2021,
Catégories:
Lesbienne
Mature,
Voyeur / Exhib / Nudisme
La vieille caressait sa chatte. Une chatte grise. Et douce. Ses poils en prenant de l'âge n'avaient pas perdu de leurs soyeux : ils n'étaient pas devenus gros et rêches mais étaient souples et doux aussi doux que quand elle avait commencé ses caresses, il y a longtemps. Et la vielle aimait passer sa main dedans, un pelage délicieux, une toison. Elle se souvenait de beaucoup des caresses qu'avait reçues sa chatte et qu’elle avait miaulé très fort au point que les voisins l’entendaient parfois. Elle aimait beaucoup les caresses avec deux ou trois doigts qui glissaient et montaient et redescendaient. La peau était si sensibles. Une main posée sur la chatte ne lui apportait pas de plaisir ou pas beaucoup, tandis que deux doigts qui doucement faisaient des petits ronds cela était très bon. Cela faisait une chaleur, une grande intensité, une jouissance.La chatte était contente. Elle aimait les caresses. Elle était un peu salope.La vielle en caressant sa chatte cet après-midi allongée sur un vaste canapé où, à cause de la chaleur, elle était à moitie à poil, avec les nichons, de gros nichons à l’air, se souvenait d'avoir baiser avec Alexandre sur ce canapé . Pourquoi se souvenir de lui cet après midi, alors qu’il y en avait tant d’autres ? En tout cas elle se rappelait qu’il avait donné du plaisir à la chatte et comment il l’avait fait. Et beaucoup de plaisir. Il avait vingt ans et elle était déjà assez vieille, 60 ans, l’âge de la grand mère d’Alexandre, mais sa vieille chatte ...
... grise aimait toujours à être caressée et elle recherchait la volupté.Elle et Alexandre s'étaient rencontrés un peu bêtement, au pied de son immeuble, un jour où il faisait très chaud. Elle l’avait presque heurté en rentrant chez elle et il s’était excusé. « Mais ce n’est rien ». Elle avait une robe très légère et un décolleté bien ouvert : elle aimait montrer ses nibards et faire bander les mecs et aussi attirer les filles. Elle portait à la main un sac d’un fabriquant de sous-vêtements chics et un autre avec du jus de fruit.Une vendeuse l’avait aidé à choisir un soutif et elle l’avait un peu touchée. Exprès ? Cela faisait plusieurs fois qu’elle allait acheter des soufits et chaque fois la vendeuse, Josiane une jeunette avec des grosses lèvres et un petit cul, s’était débrouillé pour la tripoter : elle mettait ses mains sous les bonnets en remontant ses gros nichons devant la glace et en lui disant «Peut-être ce serait mieux un peu plus haut ? « Cela l’excitait de se faire toucher comme cela. Elle respirait fort : « Oui, peut-être ? Essayons « . Et pour régler les bretelles, elle luis enlève le soutif, bonnet E ou F selon les marques, et ses seins tombent sur sa poitrine : magnifiques, lourds. Ses tétons sont durs car la fille l’a excitée. Elle les touche. Sa chatte suinte et elle répand son odeur dans la cabine d’essayage où Josiane s’affaire pour fixer les bretelles. Elles respirent fort toutes les deux. Et Josiane a fini. Se met derrière elle pour lui passer le soutif, ajuste ...