Sur le chemin de la plage
Datte: 12/08/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
L'histoire qui va suivre est le résultat du fantasme de 2 collègues, racontée par les 2 protagonistes. Elle: Nous sommes au bureau, pendant les vacances d'été, il fait chaud, et la plupart des employés sont partis déjeuner en terrasse, on est peu nombreux dans le bâtiment, il fait tellement chaud qu'on arrive à peine à travailler, on transpire, on souffle, c'est lourd, on n'en peut plus. Alors, comme notre boss nous a encouragé à le faire, toi et moi décidons de partir à la plage, sur un coup de tête. Tu as ton pantalon en toile et moi ma robe saumon, légère, qui arrive au dessus du genoux, le simple fait de monter en voiture et de rouler fenêtre ouverte nous soulage un peu. Il n'y a personne sur la route, normal à 13h, en direction de la plage. On écoute du bon son, bien chill, on parle de tout et de rien, mais rapidement une tension se crée. Elle est difficile à déterminer, mais l'air qui semblait être devenu moins pesant s'alourdit d'un coup, on a de nouveau très chaud. Tu conduis, je te parle, et je sens que tu ne m'écoutes plus, tu fais mine d'être tout à coup très absorbé par la route. Je tourne la tête et découvre que ton mutisme est du au fait que tu commences à avoir une belle érection difficile à masquer, tu te dandines un peu espérant me la cacher. Mais mission impossible, maintenant que je l'ai vue je ne peux pas m’empêcher de la regarder. Je salive rien que de l'imaginer dans ma bouche, seulement je ne sais pas comment m'y prendre pour y toucher sans en avoir ...
... l'air. Je ramasse la bouteille d'eau qui est posée à mes pieds et je t'en propose d'abord, je la débouche et te la tends, mais au moment où tu l'attrapes, faisant semblant d'être maladroite je t'arrose un peu. Tu ris, un peu gêné, car maintenant tu ne peux vraiment plus rien me cacher. Je reprends la bouteille et pour alléger un peu l'atmosphère je m'arrose un peu la gorge, l'eau coule sur mes seins, ma robe fine me colle et tu constates que je n'ai pas de soutien gorge, tu es pourtant persuadé que j'en avais un plus tôt dans la journée, tu te demandes à quel moment j'ai bien pu l'enlever, puis mes tétons qui pointent, grâce à l'air frais de la clim, occupent toutes tes pensées. Tu as du mal à regarder la route, de toute façon nous n'allons pas tarder à arriver. J'en profite pour poser ma main brûlante sur ton pantalon trempé, juste sur ton gland, je la pose, sans caresse, sans exercer de pression, juste pour que tu sentes ma chaleur. Je sens aussi la tienne par la même occasion. Tu inspires un grand coup, tu te gares, entre les pins, on est à l'ombre, on entend les cigales, il fait chaud ici aussi mais on a plus d'air. Je descends de la voiture et j’enlève tout de suite ma robe, je suis donc en culotte et je t'attends en cachant mes seins avec mes 2 mains et en te souriant. Tu descends à ton tour, tout habillé, avec une trique d'un autre monde, ton pantalon en plus d’être toujours mouillé est déformé. Tu enlèves ton t shirt et me rejoins de l'autre coté de la voiture. Tu ...