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Histoire honteuse (1)
Datte: 12/08/2021, Catégories: Divers,
... s’il te plait joue le jeu. — Tu vas me le payer. C’est après cette courte conversation que les deux gendarmes sont revenus. — Ok C’est d’accord. — Ah super. — Je peux y aller ? Je peux essayer maintenant ? — Oui, oui bien sûr. On va s’éloigner et vous laisser seuls C’est là que le plus vieux des gendarmes, surement le plus gradé, se présenta à celle dont j’ai oublié le prénom, s’est assis sur le siège conducteur et a commencé à lui parler de tout et de rien. De son coté, elle lui souriait, lui faisait son numéro de charme mais me regardait avec un regard assassin. De là où j’étais, après les avoir entendu discuter, j’ai entendu le zip de la braguette de celui qui avait pris ma place et ma copine s’est penché sur lui. J’ai alors commencé à parler avec l’autre gendarme, le plus jeune. — Bon bah c’est parti. Vous allez voir. Ma copine … c’est vraie une bombe. Vous n’allez pas le regretter. — Bah en fait, moi je suis plutôt conducteur que conductrice en fait. — < Glurp > …. Comment ça ? ai-je demandé ayant eu peur de comprendre. — T’es plutôt mignon. T’es de quel signe ? me demanda-t-il en se rapprochant de moi avec le sourire et en me scrutant de haut en bas. — Euh …. Vierge pourquoi ? — Tu ne vas pas le rester longtemps. Tu viens ? — Comment ça je ne ….. Oh non pitié pas ça. Ai-je dit en comprenant réellement où il voulait en venir. Dans quel guêpier je venais de me mettre ? Pas de bol j’étais tombé sur un flic homo et je devenais l’objet de ses convoitises. Je me suis retourné ...
... vers la voiture où l’autre gendarme, que j’entendais pousser des soupirs de satisfaction, commençait à caresser les fesses de celle qui lui taillait une pipe quand son collègue m’a fait signe de le suivre. « Bon, tu fais ce qu’il veut et c’est fini. C’est juste un mauvais moment à passer. Si tu veux t’en sortir va falloir y passer » me suis-je dit avant de le rejoindre à sa voiture. On était derrière la voiture de police et je voyais qu’il avait un regard malsain. Il m’a alors saisi le menton pour tenter un baiser mais j’ai tourné la tête. — Je ne te plais pas ? c’est ça ? — Pour ça il vous faudrait des nibards et une foufoune. — Arrête avec le « Vous ». Tu peux me dire « Tu ». Bon d’accord, tu ne veux pas m’embrasser, ok mais tu vas te mettre à genou. Ce que je craignais était en train d’arriver : j’allais devoir sucer ce type. Je n’en avais aucune envie mais il allait falloir que je le fasse quand même. En même temps, ça sonnait aussi à mes oreilles comme une opportunité. Si j’arrivais à le faire jouir avec ma bouche, peut-être qu’il n’en voudrait pas à mes fesses. J’avais les yeux en face de son ceinturon qu’il commença à retirer. On est resté là, l’un en face de l’autre, moi à genou et lui en slip, durant quelques secondes avant qu’il ne me dise « Bah alors ? Va-z-y déballe le paquet ». Je lui ai descendu son slip sur les genoux et …. « Oh merde ! Ya bien vingt centimètres de barbaque là-dedans. Il s’est fait opéré ou quoi ? » Me suis-je dit en voyant le morceau. C’est à ...