Educatrices Ch. 02
Datte: 12/08/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur,
EDUCATRICES . Ch 2 Coulybaca Texte personnel. Chapitre 2 : Une visite à domicile, Miloud assoit son emprise... La soirée s'était terminée calmement, bien que Françoise soit légèrement nauséeuse, vaguement insatisfaite et surtout l'esprit encombré de pensées contradictoires : Pourquoi elle? En quoi avait-elle bien pu les provoquer Comment avait-elle pu ressentir un certain plaisir de se faire ainsi maltraiter, car c'était indéniable, elle devait se l'avouer, elle avait frôlé l'orgasme dévastateur. Comment cela se terminerait-il? Pourvu qu'ils se taisent!! Jamais... Plus jamais elle ne se laisserait traiter de la sorte!! Son service terminé Françoise rentra chez elle vers 20 h 30, sa collègue qui la relayait pour la nuit bien qu'ayant remarqué son air troublé n'avait pas fait plus de remarques. Une bonne nuit la dessus et, du moins l'espérait-elle, le souvenir de cette ignoble soirée s'estomperait. A son retour, Frédérique et Marc, ses enfants l'attendaient pour lui souhaiter son anniversaire, et oui cela lui faisait maintenant 34 ans . Son mari en tournée d'inspection sur ses chantiers n'était pas encore rentré, après avoir fêté l'événement dans la plus pure tradition, gâteau et bougies, elle souhaita une bonne nuit à ses enfants, se relaxa longuement dans son bain, puis se coucha après avoir longuement massé d'une crème adoucissante ses fesses meurtries . Heureusement, aucune trace des sévices subis ne subsistait, hormis une vague rougeur qui passerait facilement pour un ...
... léger échauffement ; elle n'aurait donc pas à justifier de l'état de sa croupe auprès de son mari, sûr des traces quelconques auraient éveillé ses soupçons . Avec un tel jaloux, elle ne risquait pas de se plaindre de son aventure... Lui aussi l'en aurait rendu responsable... L'aurait discréditée auprès de ses enfants et qui sait... Peut-être même aurait-il réclamé le divorce! Allons, pas de traces pas d'aveu encombrant et tout en resterait là cherchait-elle à se convaincre . Tard dans la nuit, elle entendit la porte de l'entrepôt qui servait de garage et de magasin pour le matériel de chantiers s'ouvrir puis se refermer avec fracas, ce bruit provoqua un partiel émergement du sommeil dans lequel elle se croyait enlisée, elle remarqua alors de drôles de bruits, des halètements,... des soupirs... Et mit quelques instants , avant de comprendre que ces manifestations émanaient de sa propre gorge . Comme lorsqu'elle était ado, la main égarée dans les plis de sa vulve elle se branlait avec ardeur dans son sommeil. A l'état de son con, gluant et collant, lèvres largement ouvertes elle comprit que cette branlette durait déjà depuis quelque temps... Vraiment cette aventure l'avait perturbée bien plus qu'elle ne voulait se l'avouer! La porte de la chambre s'ouvrit, elle n'eut que le temps de se retourner vers le mur et feignit un sommeil profond, elle ne se sentait pas de taille à évoquer sa journée avec son mari. Son esprit encore enfiévré risquait de la trahir, elle risquait alors de ...