Tout commence - Histoires de Sexe

Tout commence

... Viona doit toujours être libre de son choix, pleinement consciente et consentante. Pas de drogue, pas de médicament. Juste peut être un peu d’alcool pour la relaxer.— Bien sûr, d’ailleurs je t’informerai régulièrement en envoyant des textos et des photos, voire des mini films. Si tu juges qu’il faut arrêter il suffira de m’appeler, j’obéirai aussitôt.— Nous sommes d’accord.— Attention Loïc, je ne pose qu’une condition. Si nous arrivons à libérer totalement Viona de son blocage, c’est-à-dire qu’elle soit capable d’accueillir des bites dans tous ses orifices, je veux que tu t’engages à accepter le même traitement. J’insiste sur ce point, tu devras sucer, avaler et te faire sodomiser. As-tu bien compris ? Es-tu encore d’accord ?— Euh. Oui. J’accepte. Je n’ai eu qu’une expérience partielle avec un ami homo avant mon mariage. Ce n’était pas désagréable. Nous scellons notre pacte par une poignée de main et revenons dans la salle. Les slows sont de retour. La lumière à nouveau tamisée. Nous retrouvons nos époux dans le coin le plus sombre. Il faut se rapprocher pour voir que ma femme caresse le bas-ventre de John à travers son pantalon et lui n’est pas en reste pour lui rendre la pareille. Léa s’approche, saisit la main de Viona, porte ses doigts à sa bouche et la regardant dans les yeux lui dit : — Une dernière avec moi, Viona, avant de rentrer. Et elles se mettent à danser. C’est comme cela que le lendemain, je prends l’avion pour Paris sous le prétexte d’une réunion imprévue sur ...

... un chantier. Viona Contrairement à ce que je pensais, je n’avais pas tourné la page sur la soirée au club. Dès que j’ai reconnu Léa, les images de la veille sont revenues et ne m’ont plus quittée. Ces pensées, plus l’alcool, me mettent dans un état second. Lorsque je danse avec nos nouveaux amis, je suis attirée par leur corps. J’aime sentir le sexe de John contre mon bas-ventre. Mes seins se tendent vers la poitrine opulente de Léa. En fin de soirée, je suis tellement une autre que je palpe la bite de John. Heureusement que Léa nous sépare car, pour la première fois de ma vie, je l’aurais entraîné dans le jardin pour qu’il me prenne comme une salope. Dès que nous commençons à danser, Léa me dit à l’oreille : — Eh bien, c’est le spectacle d’hier qui te met dans cet état. Tu voulais consoler John de ne pas avoir été présent. Tu pensais lui proposer quoi ? Qu’il te baise, t’encule ou que tu le suces.— Oh ! Léa. Excuse-moi. C’est vrai que tout cela m’a troublé. Tu sais, avec Loïc nous avons une sexualité bien plus classique. Mais je ne sais pas ce qui me prend. Tu ne m’en veux pas ?— Pas du tout ma chérie. Je te taquine. Allons rejoindre nos hommes, il se fait tard, il est temps de rentrer. Le lendemain, Loïc m’annonce qu’il doit remonter à Paris pour une histoire de chantier. Heureusement que Léa m’a invitée ces quelques jours chez elle. En plus, elle habite une villa magnifique avec une gigantesque piscine totalement protégée des regards indiscrets. Après avoir déposé mon mari ...