1. Un cocufiage peu commun (6)


    Datte: 13/08/2021, Catégories: Zoophilie,

    Environ une semaine après notre séance de galipettes, Roger m’envoya un SMS comme il me l’avait signifié alors. « Salut, ma petite salope. Axel et moi passerons te voir cet après-midi. Nous souhaitons que tu sois déjà à poil à notre arrivée, histoire de ne pas perdre de temps avec des préliminaires inutiles. Réponds à ce message dès que tu l’auras lu.» Comme l’exigeait le père de mon copain, je répondis à son message par l’affirmative et me risquai à demander si Axel et lui venaient accompagnés de Bingo. La réponse ne tarda pas à venir. « Oui, petite vicieuse. Tu auras le plaisir de te faire baiser par deux hommes et deux chiens bien montés.» Le contenu du message me fit sourire. J’y répondis que j’avais hâte d’y être et mis mon téléphone sur mode Avion afin de ne pas être dérangée. Comme il n’était que onze heures, je décidai de visionner quelques épisodes de « Friends» afin de calmer mon excitation et de tuer le temps jusqu’à l’arrivée de mes amants. Vers midi, je me préparai un repas léger afin de ne pas avoir le ventre trop lourd car, connaissant Roger, celui-ci voulait sûrement profiter de mes meilleures ressources. Lorsque j’eus fini de manger, je montai dans ma chambre pour me déshabiller. Lorsque je fus nue, Nougat, qui demeurait allongé sur mon lit, bondit dans ma direction et essaya de me lécher la chatte. — Non, pas tout de suite, Nougat. Un peu de patience. Ne t’en fais pas, je te laisserai bien profiter de tout ça. Allez, recouche-toi. Je déposai un baiser sur ...
    ... la tête de mon chien et celui-ci obtempéra à l’ordre que je lui avais donné. Bien que la perspective de prendre du plaisir avec Nougat me séduisait, je souhaitais être fraîche pour Axel et Roger et luttais pour ne pas me toucher en imaginant ce qu’il allait se passer. Je n’eus pas à prendre mon mal en patience bien longtemps. À treize heures, on sonna à ma porte. Je m’empressai de me lever de mon lit et regardai par le trou de la serrure pour m’assurer de l’identité de mon visiteur. Satisfaite, j’ouvris la porte pour accueillir mes deux amants et leur chien. — Je vois que tu es très désireuse de faire plaisir à tes amants, ma belle. Regarde-moi cette vision de paradis, Axel. Ça ne te fait pas envie ? — Oui, papa. J’ai envie d’elle. Je rougis en entendant ces remarques à mon propos et m’empressai de les faire entrer. À peine eus-je refermé la porte que Bingo passa sa langue sur mon sexe déjà humidifié par l’excitation. Sans piper mot, je pris la direction de ma chambre. — Non, Elodie. On ne fera pas ça dans ta chambre cette fois. Axel et moi avons envie d’un peu de naturisme. Nous te baiserons donc dans le jardin. — Dans le jardin ?! Tu n’es pas sérieux, Roger ? Si quelqu’un nous voit... — Aucun risque. Tes voisins sont au travail au moins jusqu’à 17h et Jean est bien trop occupé pour te rendre visite. Lorsque Roger évoqua mon petit ami, pour la première fois, je fus prise de remords. — Écoutez, je pense qu’il vaut mieux qu’aujourd’hui soit notre dernière fois. Je me rends ...
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