Dette fiscale...ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ". (1)
Datte: 13/08/2021,
Catégories:
Divers,
... émeraude et surtout ses cheveux. Longs jusqu’à la taille, fins, et d’un roux entre ambre et orangé. Tout le monde s’imaginait un savant mélange de teinture, mais non, sa couleur était naturelle. Une fois, lors d’une soirée, elle avait failli ouvrir sa robe et baisser son Tanga, pour montrer le petit triangle roux de la même teinte… il faut dire qu’elle était un peu pompette, que le couple, avec qui elle discutait l’avait bien allumée, et qu’elle avait une tendance à l’exhibitionnisme, malheureusement étouffée dans l’œuf. C’est son ami Gisèle qui l’avait empêché de faire cette connerie, en pleine réception très classe. Gisèle, c’était son oxygène, son étincelle, la seule qui pouvait la faire rire ou l’intéresser à autre chose qu’a son cul ! Épouse d’un autre entrepreneur brillant, elle s’était faite une réputation de femme facile et libertine, qu’elle entretenait savamment à coup de sous-entendus et petites phrases à double sens. Gisèle avait une vie sexuelle plus que épanouie, parce qu’elle ne se refusait rien de ses envies. Et c’est à une Corinne, aux yeux brillants, au souffle court et au slip bientôt humide, qu’elle racontait ses dernières fantaisies...et elles étaient variées ! Partouzes en club, jusque là rien d’extraordinaire, mais gangs bang par des routiers sur des aires d’autoroutes, dans des caves de banlieue où elle se soumettait avec plaisir aux fantaisies sexuelles des petites racailles, en commissariat de police tard le soir, ou en bureau de garde de caserne ...
... militaire. Elle lui racontait toutes ses expériences sexuelles, même les plus limites et ses fantasmes. Car Gisèle, contrairement à son amie, n’avait pas froid aux yeux. Elle avait envie de tester la zoophilie et des expériences bizarres, du style de se faire capturer et baiser par toute une tribu de natifs africains ou amazoniens. Le rapt par une bande de mercenaires la branchait bien aussi … A chaque fois, Corinne était obligée de changer de slip et de se masturber furieusement dans sa salle de bain après son départ... sa liberté de concrétiser ses fantasmes la fascinait. Alors Corinne retournait à sa piètre existence de femme du monde, choyée, enviée et désirée par tout le monde...sauf que elle, cette existence de rêve elle l’avait en horreur...alors Corinne attendait un miracle... et il survint un vendredi soir, au retour de travail de son mari. Tout de suite elle comprit que quelque chose n’allait pas. Rodolphe traversa le vestibule en marbre sans faire le petit signe familier, qu’il adressait à son majordome lui ouvrant la porte. Et sans s’arrêter pour déposer un chaste baiser a son épouse, il traça jusqu’à son bureau. Interdite et étonnée par la désinvolture de son mari à son égard, Corinne le suivit dans le bureau luxueux: "Je ne t’ai pas dit de me suivre Corinne ! ( le ton acerbe et tranchant étonna Corinne, et bientôt lui fit ressentir comme une angoisse sourde, quelque chose de grave se passait, c’était sûr !) -Rodolphe que se passe t il , un problème ? -Oh ouuuuiii ! ...