1. mon neveu est monté comme un poney et ma femme adore (1)


    Datte: 13/08/2021, Catégories: Hétéro

    ... mains et les retirent doucement se son mat érigé, me mets à genoux et m’installe pour admirer de près ce colosse sagement couché sur son ventre. Je ne peux retenir ma main, qui tel un serpent guettant sa proie, s’approche de sa virilité brandie et j’entoure de mes doigts cette monstrueuse colonne de chair. Il laisse échapper un gémissement au contact de mes doigts entourant sa majestueuse trique. Je fais courir ma main sur toute la longueur de cet incroyable chibre. Je suis tellement obnubilée par cette vision que je ne sais plus ce que je raconte. -Tu veux que je te soulage mon petit poney, tu dois souffrir de ne rien pouvoir faire avec tes plâtres ? Sans le vouloir, ma main animée d’une vie propre, est en train de le branler, sentant ses veines palpiter à travers mes doigts. Mon autre main c’est saisit de ses couilles, elles sont du même calibre que sa queue, énormes et gonflées d’une laitance prometteuse. Il me regarde complètement paniqué mais aucun son ne sort de sa bouche. Qui ne dit rien consent, je continue donc à le branler doucement, il gémit sous la caresse. Soudain un semblant de moral refait surface et je retire mes mains, réalisant que c’est le neveu de mon mari que je branle ! — Continue ma tante... C’est trop bon! Complètement subjuguée par la taille de son manche dans ma main. Je me lance et lui murmure d’une voix douce. -Tu es drôlement bien membré. Je ne savais pas qu’il y avait sous mon toit un tel étalon... Tu veux que je continue? -Oh oui… je t’en ...
    ... supplie, ne t’arrêtes pas. Je fais glisser son long prépuce avec deux doigts libérant totalement un gland turgescent qui brille d’un beau rouge carmin. Ma main paraît minuscule sur un tel gourdin. Je branle son beau pénis pendant près de dix minutes. Il est d’une dureté ferrugineuse. Je lui explique. heqhoonu -Je n’utilise que mes mains, tu risquerais de me défoncer la mâchoire avec ton truc. Mais je ne peux résister longtemps à ce beau sucre d’orge. Je lèche son membre interminable, comme pour le nettoyer sur toute la longueur en partant de ses couilles velues. -Ta verge a bon goût, légèrement salée, je vais quand même tenter de goûter ton champignon. Tu permets ? Il ne dit toujours rien, mais ses yeux parlent pour lui. Je l’engloutis difficilement dans ma bouche essayant d’en absorber un maximum, pleine de bonne volonté, et le suce doucement, montant et descendant le long de son mât. Arrivée au gland, je replonge le plus loin possible sur cette queue de ouf, je dois m’y reprendre plusieurs fois et j’arrive à avaler au moins vingt centimètres dans ma bouche, mais là, il est au fond de ma gorge et il y a encore un bon bout en dehors. Il ne peut se retenir sous ma « gorge profonde », et en quelques instants il se vide au fond de ma bouche en râlant. J’avale au fur et à mesure, sans broncher et après quelques giclées, retire son membre de mes lèvres le regardant en souriant. Mais je me suis retirée trop vite, il continue à cracher et je reçois ses derniers jets en plein visage. -Eh ...