1. Mon mari m'offre à d'autres mâles. (8)


    Datte: 13/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... avant de bien m’enfoutrer la chatte. Quand il n’est pas trop tard, je vais souvent me laver le con dans la foulée mais là, il m’avait demandé de ne pas le faire... il aime parfois que je reste pleine de sperme dont l’odeur se répand das la chambre quand il s ’écoule du trou. Il aime les odeurs du sexe. Moins d’un quart d’heure s’était écoulé. Le sommeil me prenait lorsque j’entendis un bruit. - Franck, Franck, y’ a quelqu’un qui est entré dans l’appartement ! - Ouais, je sais. C’est un mec qui vient te baiser. Je l’ai ferré sur internet en me faisant passer pour toi. Je suis sensé être bourré de somnifères et il va te prendre avec moi à côté qui suis supposé dormir profondément. Pus tard dans la nuit, après cette séance inédite, mon mari m’expliqua comment il avait pris contact sur le net, s’était assuré des dimensions du type et avait lu son certificat médical attestant de sa capacité à me prendre sans capote. Le mec voulait me rencontrer à l’hôtel mais Franck, toujours en se faisant passer pour moi, l’avait convaincu de venir à l’appart pendant que mon mari, dormirait (avec un sommeil très profond à cause des médicaments) il me sauterait dans le lit conjugal occupé par son légitime propriétaire. Excitant non ? Le gars avait fait quelques objections, trouvant l’affaire trop risquée, puis s’était rendu à "mes" choix. Il devait être d’une hygiène irréprochable, lavé à l’eau la plus claire sans eau de Cologne ou de toilette qui sont parfois insupportables. On lui avait ...
    ... filé le digicode et expliqué qu’il devait se déshabiller dans le salon, ouvrir la porte du fond pour entrer dans la couloir. La chambre serait ouverte et je l’attendrai jambes écartées. Pour l’heure, le mec était donc en train de se dessaper et mon cœur palpitait en l’attendant. J’essayai de questionner Franck mais il ne voulut plus rien dire de peur que le mec nous entendît. Enfin la porte du couloir s’ouvrit projetant à l’intérieur la lumière qui venait du salon et je vis apparaître l’homme, le pas hésitant. C’était un colosse. Il faisait plus de deux mètres. Son ventre était très gros. Il resta un instant sur le seuil de la chambre et fit très discrètement"hum hum". Je répondis à voix très basse : - Entre, il dort à poings fermés. Il s’approcha et je pus apercevoir son gros zob se balancer dans la pénombre. Quand il fut près du lit je lui attrapai la grappe. - Suce-moi, dit-il. Alors j’approchai ma tête de son corps tandis qu’il descendait vers moi appuyant ses genoux sur le bord du matelas et je pris la grosse trique dans la bouche. - Alors, tu vois ? je t’avais pas menti, elle est grosse hein ? - Ouais trop bonne , répondis-je avec sincérité. En effet, elle était très bien dimensionnée. je tétai un gland à l’ourlet rond et épais. Le prépuce le recouvrait encore et je jouais à passer ma langue entre cette peau si fine et cette tête de pine douce et sculptée. De ses mains, il caressait mes seins. - C’est comme sur les photos... disait-il à voix basse. T’as de sacré bons ...