Les démons de Maria
Datte: 14/11/2017,
Catégories:
fhh,
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couplus,
extracon,
cocus,
inconnu,
boitenuit,
... fiché dans le cul, et son ventre de femme sensuelle et généreuse répondait aux assauts ; son désir latent la submergeait, elle voulait son plaisir plus que tout. Je la vis agripper le gros porc, empoigner la graisse des fesses et accompagner son coït de tout son bassin. Elle releva ses cuisses sans parvenir à croiser ses jambes sur son partenaire trop gros pour elle, comme elle le faisait d’ordinaire, tandis que sa bouche mangeait littéralement celle du vieux vicieux qui jouait avec sa langue. On distinguait par moments le godemiché fiché tout entier dans son cul qui dilatait ses chairs. Les images se succédaient, enchaînant les gros plans sur le sexe et sur le visage de Maria, sous le regard expert des deux précédents partenaires qui assistaient à la scène en silence, fascinés eux aussi par cet accouplement contre nature. C’était une autre version deLa belle et la bête, avec quelque chose d’animal tant le désir de la belle était bestial, et l’apparence du mâle obèse quasi inhumaine. En silence, ils constataient que la farce scabreuse virait aux noces barbares entre une poupée et un vieux pachyderme. Ils pouvaient savourer leur emprise sur l’épouse respectable métamorphosée en catin lubrique totalement soumise à leur volonté, tout aussi prête à assouvir leurs propres désirs que celui du vieux vicieux à qui ils l’avaient offerte. La saillie de Maria allait bon train ; elle avait encore relevé sa croupe pour aller au-devant des assauts de son mâle, offrant toute sa féminité au ...
... pieu de chair qui coulissait en elle, investie jusqu’au plus profond de son être dans cette chevauchée dantesque. Elle avait capitulé ; toute retenue était balayée. L’écran géant renvoyait en haute résolution son visage transfiguré, ses yeux révulsés, sa bouche déformée par un rictus. Non, Maria ne simulait pas : elle exprimait le désir à l’état pur qui montait du plus profond de son être. Le spectacle me faisait bander comme un cerf, mais j’étais submergé d’une jalousie aussi rageante qu’impuissante. Maria avait perdu toute pudeur, toute retenue, elle transpirait de désir et d’envie de mâle. Ma femme adorée encourageait le vieux phoque ; elle tenait sa tête à deux mains et le dévorait, le couvrait de baisers, mangeait sa bouche, mêlait sa langue à celle qui jaillissait du triple menton. Sa répulsion naturelle pour ce bouc était vaincue. L’intensité de son désir animal était telle que Maria se donnait à lui sans retenue ; elle lui appartenait tout entière, il était son roi et usait de tous les droits sur son esclave, elle rendait grâce à son seigneur de bien vouloir l’honorer. Et le porc eut sa victoire : il la baisa en maître absolu, la posséda corps et âme, forniquant dans une dernière ligne droite à grands coups de reins violents. Maria perdit le contrôle de son corps ; telle une poupée désarticulée, elle se tordit dans tous les sens comme si tous ses muscles voulaient en même temps leur part de plaisir, gigotant autour du membre fiché en elle comme soumise à des décharges ...