Les démons de Maria - Histoires de Sexe

Les démons de Maria

... montra son sexe épilé pour la première fois. J’avais toujours adoré le minou si mignon de mon épouse, mais je devais admettre que la vue de cette fente lisse me troublait beaucoup. Son ventre rond, son pubis de petite fille contrastait avec sa vulve fendue dont les lèvres nues ne parvenaient pas à cacher le clitoris ni l’entrée de son con. Je voulus la consoler : — Trois salopards ont abusé de toi, mais tu es toujours la même.— Pas trois, mais sept : j’ai eu des rapports avec sept mecs. Tu dois tout savoir.— Sept ?— Tu as bien entendu : pas moins d’une femme et de sept types m’ont eue hier soir.— Merde !— Quand les trois premiers allaient partir, un type est entré. Il a mis sa queue dans ma bouche et il s’est soulagé comme ça, sans rien dire ; je ne sais même pas qui c’était. Après, un autre a sorti son sexe, a mis une capote et l’a enfoncé dans mon cul. Lui non plus n’a pas été long ; je n’ai pas vu son visage non plus. Après, je me suis endormie un moment. À mon réveil, un petit jeune était là à me regarder dormir toute nue. Il a attendu que je me réveille et il s’est déshabillé aussi. Il m’a dit qu’il ne m’avait pas quittée des yeux de toute la soirée jusqu’au moment où je suis partie avec Cyril. Alors, quand René lui a offert de tirer un coup avec moi, il ne s’est pas fait prier ! Il était beau, assez jeune pour être mon fils. Il avait tellement envie que j’ai dit oui, mais avec un préservatif. Il m’a pénétrée immédiatement. Je n’ai pas eu le temps de faire un mouvement ...

... qu’il avait déjà fini. Il était gentil et timide et m’a demandé s’il pouvait rester un peu avec moi. En fait, je l’ai gardé en moi un petit moment, et quand il a retrouvé son érection je lui ai montré comment il devait s’y prendre pour me donner du plaisir. Il a suivi mes conseils et mes encouragements, et finalement nous avons joui tous les deux ensemble. Il m’a avoué qu’il avait une copine mais que c’était sa première fois avec une femme. Je sais qu’il aura un bon souvenir de moi. En me lavant, je me rappelle avoir ri toute seule en réalisant que j’étais une cougar. Remarque, se faire un jeune puceau, c’est aussi bien que de s’envoyer en l’air avec un grand-père aussi pervers que gras ! Après, j’ai voulu descendre pour revenir vers le bar. Une espèce de brute me barrait le passage. Sans un mot, il m’a collée contre la rambarde, a baissé son pantalon et m’a pénétrée en force dans l’escalier en vantant les avantages d’une fente lisse et bien huilée. J’avais les jambes décollées du sol, et comme je devais me retenir fermement à la rampe il a eu le champ libre pour me la mettre. Il avait un sexe énorme et m’a fait mal. Heureusement que j’avais été ouverte et lubrifiée par les autres. Je l’ai supplié de faire ça sur un divan à côté, alors il m’a portée avec sa queue toujours en moi et m’a baisée sur la banquette. Il m’a laissé m’habituer à sa bite ; c’est de loin la plus grosse que j’ai jamais eue ! Il me remplissait tellement qu’il touchait le fond de mon vagin ; je ne pensais ...