Thérapie de choc
Datte: 14/08/2021,
Catégories:
ffh,
prost,
hsoumis,
humilié(e),
odeurs,
pied,
Oral
sm,
attache,
... détendre un peu. Quelques baisers tendres, posés çà et là, commencent à m’émoustiller. Je sens soudain qu’un de mes poignets est enserré par un lien sorti de je ne sais où. Je me laisse faire pour monter le bras au-dessus de ma tête et le voilà attaché. Les caresses n’ont jamais cessé pendant ce temps. Mieux, la langue d’Angélique s’est même insinuée dans mon nombril, m’empêchant presque de sentir mon second bras se faire attacher. Un bandeau se pose sur mes yeux et, les deux bras liés, je me retrouve dans le noir, abandonné à ces deux belles créatures. C’est un peu dommage de ne plus pouvoir profiter du paysage, mais c’est moi qui avais fixé les règles du jeu ! Je sens mon pantalon qui s’ouvre, pendant que mon ventre et mon torse sont toujours caressés parfois si légèrement que ça me chatouille. Éviter de le montrer, ça pourrait leur donner des idées… Une bouche vient gober le lobe d’une oreille. Divin. Très sensible à ces jeux-là, mon sexe est quasiment au garde à vous, bloqué par mon slip. Rapidement, mon pantalon est enlevé. Une des filles ironise sur mon état d’excitation, mais, penaud, je n’ai rien à répondre… C’est à présent au tour de mes jambes d’être caressées, des orteils jusqu’à mon pubis, les mains se faisant parfois insistantes sur ma grosseur, parfois prenant soin de l’éviter. Je sens aussi le soyeux de ce qui doit être un bas frôler mes mains, remonter le long de mon bras jusqu’à mon visage. Le pied se pose sur ma bouche, mon nez, rejoint par le second. Mon ...
... nez est pincé quelques instants par les deux orteils et, lorsque je veux reprendre mon souffle, un des talons se cale sur ma bouche. Ce que j’identifie comme des orteils nus vient me chatouiller l’oreille, tandis que ma joue est aussi caressée. Des doigts de pieds se glissent sur mes lèvres. J’ouvre la bouche et ils entrent. L’odeur se fait très discrète mais un très léger goût subtil, acidulé s’offre à mes papilles. Juste ce qu’il faut. Une des filles me somme de sortir la langue, et je sens un premier pied, puis un deuxième, glisser sur celle-ci, de tout son long, bientôt suivi par le tissu des bas de Angélique. Les quatre pieds vont et viennent sur tout mon corps, mon visage, dans ma bouche. Un régal. L’un d’entre eux s’attarde à présent davantage sur ma virilité, qui ne demande plus à présent que de sortir du tissu tellement elle est tendue. Et c’est donc avec plaisir que je me sens libéré, toujours par ce pied. Mon sous-vêtement est vite enlevé et, rapidement, mes deux chevilles sont également emprisonnées et attachées. Me voilà donc aveugle et écartelé, à la merci de deux professionnelles que je ne connaissais pas il y a quinze minutes… Un mouvement m’indique qu’une des filles se rapproche, au-dessus de moi. Mon nez est touché par quelque chose de doux et, à l’odeur, je sais immédiatement qu’il s’agit de l’intimité d’une des filles. Les lèvres se frottent sur mon nez, ma bouche. Alors que je sors ma langue pour en profiter, une voix me crie de la rentrer immédiatement. ...