1. À la ferme


    Datte: 14/08/2021, Catégories: fh, fhh, couple, inconnu, campagne, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo,

    ... endroit pour camper. Ils sont une dizaine et elle promet de ne pas créer de problèmes. De toute façon ils sont tous contre la violence. Nous comprenons qu’ils sont de cette nouvelle secte, les Hippies. Je laisse Martine se débrouiller et chasser ces importuns car j’ai prévu de porter mon tracteur en révision. Mais à mon retour, j’ai la surprise de découvrir leur campement au bord de l’étang, branchements électriques et en eau déjà effectués. Martine s’est laissé amadouer. Je dois reconnaître que leur présence ne nous a causé aucun préjudice pendant tout le temps où ils sont restés. Au contraire les filles sont souvent venues aider et tenir compagnie à Martine que quelquefois j’abandonne une journée entière. Manifestement elles avaient sympathisés et maintenant je craignais que ma femme se retrouve bien seule après leur départ. Les garçons aussi m’ont proposé leur aide que j’ai acceptée pour divers travaux. En contrepartie nous leur offrons les produits de la ferme. Aussi il m’arrive de jouer les voyeurs car la pudeur n’est pas leur fort. L’étang est un prétexte pour des bains nus. Les femmes sont belles. C’est à mon tour de voir Capucine dans le plus simple appareil. Capucine, toutes les filles ont pris des prénoms de fleurs, c’est celle qui nous a matés dans la cuisine. Lorsque je la croise, elle a toujours un petit sourire plein de sous-entendus. Mais ils ont annoncé leur départ et pour nous remercier nous invitent à un repas commun. Seule ombre au tableau, la pluie qui ...
    ... s’invite et je leur propose notre grange que je viens justement, avec leur aide, de réaménager et nettoyer de fond en comble. C’est la première fois que nous les voyons tous ensemble. Le repas est uniquement végétarien mais j’ai amené du vin et des digestifs pour conserver notre terroir et ses traditions. L’ambiance est particulière avec toutes ces bougies, ces odeurs, mélange de parfums entêtants et la musique indienne. Mais ce n’est pas vraiment désagréable. Au fil de la soirée le climat change. Ils font circuler des cigarettes mal roulées mais je préfère mes bonnes vieilles Gauloises. Martine qui ne fume pas s’essaie à ce vice et me défie du regard alors qu’elle inhale la fumée, sur le conseil de Capucine, la garde longuement dans les poumons avant de la recracher, lui laissant les yeux brillants et une expression de béatitude que je ne lui connaissais pas. Ils insistent pour que j’essaie et comme je ne veux pas passer pour le vieux ronchon de la soirée je m’exécute. Je ne sais pas si c’est le mélange de ma prune avec leur tabac mais très vite je ressens un relâchement de mes muscles et m’abandonne à cet état si nouveau pour moi. Tout autour de moi les corps se relâchent, les esprits semblent ailleurs. Une fille se lève et se trémousse au rythme lancinant de cette musique venue d’ailleurs. D’autres la rejoignent et ensemble elles bougent dans une chorégraphie improvisée mais avec des mouvements lascifs et suggestifs. Les bougies construisent des ombres lubriques et il me ...
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