Jeu de miroir
Datte: 14/08/2021,
Catégories:
fhh,
hbi,
couple,
Oral
fsodo,
hsodo,
init,
La conversation avait commencé comme ça. "Je peux vous offrir à boire". "Avec plaisir". J’étais seul dans un café. Elle et lui étaient entrés quelques temps après. Je lui avais passé le tabouret. Sans arrière- pensée aucune. Juste par politesse. Elle m’avait souri, m’avait remercié. Sans le vouloir j’ai regardé ses jambes, sa jupe un peu courte laissant voir ses jambes. Elle était vraiment belle. Trop. Trop pour que je ne la regarde pas. Trop pour qu’elle ne sache pas que je la regarde. Trop pour que lui ne puisse pas imaginer que je la regarde. C’est aussi simple que ça. Et on commence à discuter. De rien, de tout. De tout ce qu’on peut se dire." Vous venez souvent ici ?" "Non. " Mais, vraiment, je les considère comme un couple. Je la regarde c’est vrai, mais jamais je n’oserai la moindre allusion, le moindre geste déplacé. Bien au contraire. Je vous le dis, je les considère comme un couple pour toujours. Mais c’est elle qui commence. C’est elle qui a le droit de commencer, ouvertement. C’est elle qui est de plus en plus proche de moi, c’est elle qui parfois me frôle d’un peu trop près, me regarde un peu trop longuement. C’est elle qui propose un verre, chez eux. Prétextant je sais pas quoi. Qu’ici c’est trop enfumé. Et puis ils n’habitent pas loin. Lui est enthousiaste. Vraiment, ils n’habitent pas loin. Je dis d’accord. Elle est vraiment belle. Ses jambes surtout. Une fois dans leur salon, après un deuxième whisky, elle se plaint d’une douleur légère dans le dos. Elle a ...
... mal dormi cette nuit, une courbature rien de plus. Lui la conseille d’aller voir un ostéopathe dès demain. Elle se lève, s’étire, se cambre, puis demande à son mari de lui passer un peu de crème apaisante. Il refuse. Il déteste les crèmes, c’est gras. Alors elle me demande de la masser parce que son mari déteste. Juste elle me demande un service, rien de plus, si je peux la masser, un peu. Il est là, ne dit rien. Ne dit rien, consent. Elle insiste, me le demande comme un service, je ne peux refuser. Et commence du plus loin de ma main, à la masser. Elle aime. Elle aime trop. Je suis là, un peu de côté, je la masse dans le haut du dos, elle se cambre, et commence à gémir, m’indique où diriger mes doigts. Mais c’est des gémissements, que l’on peut croire naturels, venant du massage, d’une courbature calmée, d’un muscle qui se relâche. Je la masse. Lui est là, il sert des verres, m’en propose un, me dit qu’il n’aime pas trop ça, masser. À cause que c’est gras. Elle se cambre de plus en plus .Je continue le massage. Elle me donne des indications. Me dit plus bas. Ma main descend, un peu. Je la regarde, la désire, regarde sa cambrure, ses hanches, son cul de plus en plus tendu. Je descend, caresse les reins, un peu gêné. Lui ne dit rien, consent, me donne mon verre, met de la musique. Puis elle me demande de descendre plus bas. Je suis déjà aux reins. Ma main glisse sous sa robe, pudiquement, caresse son derrière. Elle ne retient plus ses soupirs qui deviennent de plus en plus ...