Ma prof Ch. 01
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... corbeille de linge sale. Elle était pleine et il ne me fallut pas longtemps pour en tirer une culotte blanche. Je la dépliais lentement, observant les légères traces jaunâtres qui en souillaient l'entrejambe, quelque poils noirs incrustés dans le coton qui avait recouvert son sexe. Je portais cette culotte sale à mon nez, m'immergeant dans son odeur puissante. Je sortis mon sexe de mon pantalon et commençait à me caresser tout en reniflant les fragrances des sécrétions mêlées à une vague odeur d'urine, mon excitation atteignait son comble et c'est presque en transe que j'éjaculais sur le carrelage de la salle de bain. C'est à ce moment précis que l'entendis la porte d'entrée. Paniqué, je jetai la culotte dans la panière, refermai précipitamment mon pantalon et sortis de la salle de bain pour accueillir ma patronne. Elle m'observait avec un regard inquiet. « Ça va Pascal? » Je lui répondit de la façon la plus naturelle possible alors que je prenais conscience de l'horreur de la situation. Le couvercle de la panière à linge par terre avec sa culotte bien en vue sur le dessus...les traces de mon sperme sur la carrelage... « Euh...oui Madame, ça va » « Tu es rouge comme une pivoine...tu n'as pas de malaise? » « Non, non, c'est juste que j'ai eu un peu chaud en finissant le ménage » « Bon, tiens, voilà ta paye » Elle me tendit le billet de cinquante euros qu'elle me donnait chaque semaine. J'étais catastrophé. D'un coté, je n'avais qu'une envie, c'était de fuir cette maison, ...
... cette femme. D'un autre coté, il fallait que je trouve une idée pour pouvoir dissimuler mes traces dans la salle de bain. Mme Leroy mit un terme à mes réflexions en me tendant la main pour me dire au revoir. Je quittais la maison le cœur battant , terrifié par ce qui allait se passer dans les prochains jours. Le mardi suivant, j'avais cours de physique. J'envisageais sérieusement de me faire porter malade mais, décidant d'affronter une bonne fois pour toute le diable dans les yeux et d'assumer ma honte. J'y allais quand même. Mme Leroy eut exactement le même comportement qu'elle avait toujours. Je guettai un regard particulier, une moue inhabituelle à mon égard, mais rien. Toujours ce contact professionnel, à la fois froid et plein de sollicitude qu'elle avait avec tous mes collègues. Après les trois cours de la semaine, je commençais à reprendre confiance. Après tout, elle ne s'était peut-être rendus compte de rien. Je me faisais du cinéma et elle n'avait aucune idée de ce qui s'était passé dans sa salle de bain... Le vendredi, c'est un peu rasséréné que j'arrivais dans la maison vide. Je fis le ménage rapidement, habitué maintenant à cet exercice hebdomadaire. Mme Leroy salissait peu..enfin je parle de sa maison...et tandis que je passais l'aspirateur, je ne pouvais m'empêcher de penser aux trésors que j'allais trouver dans sa corbeille de linge sale. 19H45...j'avais finis et tout était rangé...je me précipitais dans la salle de bain pour ouvrir la corbeille...elle était vide. ...