1. Terma-7- Expérience avec deux blacks


    Datte: 15/11/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... mon premier amant black qui m’avait si bien niqué dernièrement. Séduit par ma terma, il est revenu roder, avec un copain parlant arabe, au niveau des toilettes, étant certain de m’y trouver, cherchant des zobs blacks : « gal’li 3andek terma baydha !s’mina ! hloua ! » ( il m’a dit que tu as une grosse terma blanche et un cul délicieux !) . Il m’a appris qu’il s’appelait Moussa et que mon premier Black se nommait Keita, mais qui ne s’exprimait qu’en haoussa et très légèrement en arabe. Moussa m’a demandé, avec un large sourire : « t’heb e’nikouk fi zoudj ? ( tu veux qu’on te nique tous les deux ? » et j’ai approuvé de la tête. Puis il m’explique : « e’nikouk m’3a ba’3adh ! oual’la wahad ba3ad wahad ? » ( on te baise tous les deux ! ensemble ! ou bien l’un après l’autre ?). J’étais surpris et les yeux grands ouverts, j’ai répondu « wahed ba3ad wahad ! » (l’un après l’autre !) et j’ai ajouté : « bi zbouba e’nta3’koum e’khchaane ki outed lahdiid ! wahad yekfini ! » ( avec de tels zobs épais comme un barreau de fer ! un seul suffit !) et pour moi-même : «e’daourou yaga3rouli teremti ! » (ils veulent m’exploser teremti !). Moussa a rigolé en expliquant à son copain dans leur langue particulière, puis il m’a poussé dans ma cabine fétiche, ayant un trou au mur. Keita est resté dehors, laissant à son ami le soin de me montrer ce qu’il savait faire. J’ai fais glissé mon pantalon et mon slip et Moussa a fait de même. Ö lala ! quel zob ! et déjà bandé ! Ils étaient sûr de me niquer, ces ...
    ... deux la ! Aussitôt Moussa m’a attiré contre son ventre et m’a peloté plusieurs fois les fesses, tout en essayant d’atteindre leur sillon et leur trésor caché. Déjà le cul totalement mouillé, j’ai saisi sa grosse bite et avec avidité et désir je l’ai englouti dans ma bouche. Je pensais déjà combien cette longue et grosse queue va me donner de plaisir à l’intérieur de ma terma. « Ah ! ya teremti la3ziza ! hadha el’kara lemtina ray7a t’far7ak bezzaaf » ( ô ma terma chérie ! cette queue dure va beaucoup te plaire !). Puis, me poussant sur le coté, pour permettre à Moussa de me doigter et me sonder le cul, j’ai commencé à sucer et branler sa queue. Elle était identique à celle de Keita, longue, grosse, lourde et avec un gland énorme. Elle me faisait déjà mouiller du cul et mon bas ventre frémissait. Ma terma va être servie et deux fois plus qu’une. Moussa continuait à me tripoter les fesses, même avec un peu de violence. Il bandait à mort et son penis était un « zebbouj » (morceau d’un bois très dur). Il me doigtait le trou du cul, me lubrifiant avec sa salive. Puis, ne maitrisant plus son désir violent, il m’a retourné carrément face au mur, courbé, j’ai placé mes mains sur le bidet. J’ai senti ses lèvres qui me léchaient les fesses et le trou du cul. « ya zebbi ! teremtek h’loua s’hiih ! » ( ô mon zob ! ta terma est vraiment douce !). Ce gars devait être, certainement, à jeun de sexe depuis longtemps pour divaguer ainsi ! Il m’a ouvert l’anus avec un doigt et glissa le bout de sa ...
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