1. Une tranche de vie 3


    Datte: 15/08/2021, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... brusquement et me surprenant à la regarder fixement elle me dit : « Qu’est-ce que tu regardes comme ça » J’étais pris au dépourvu et répondis : « Toi » « Ah, …, mais quoi, moi ? » « Je te regardais marcher » « Tu me regardais marcher et alors, … » « Je trouve que tu as une démarche très, …, enfin très, … comment dire élégante, c’est ça » « C’est flatteur, mais tu as hésité et ce n’est pas ce que tu voulais dire de prime abord » Elle revint vers moi s’assit sur mes genoux, elle me lécha l’oreille et se tortillant un peu, l’effet ne se fit pas trop attendre. Collé contre moi, et surtout contre l’oreille « Dis moi la vérité, je marchais comment ? » J’hésitais, je me demandais si j’osais lui dire exactement et je me lançais : « Oui tu as une démarche élégante, …, heu, …, excitante et surtout t’as un beau cul » Est-ce que j’étais allée trop loin ? « Ainsi quant tu me regardes marcher, ça t’excite de voir mon cul, (et toujours doucement dans l’oreille) ça te fait bander, … dis moi, … ça m’excite de savoir, … , ça te donne des idées » « Oui, d’ailleurs tu devrais le sentir contre ta cuisse » et je commençais à lui glisser une main entre ses cuisses, cela la fit réagir, elle se leva, « le café d’abord » Je la regardais s’éloigner, mais là elle le savait et je remarquais, encore plus son balancement, que quand je l’avais vu marcher nue sur le bord de la piscine. Elle avait un balancement de hanches provocateur, excitant au possible. Elle revint avec la cafetière et remplissant ...
    ... les tasses sur la table basse, je pus avoir une vue intéressante sur ses seins, que je savais bien ronds et bien pleins. Remplir les tasses lentement de façon à ne pas faire de mousse demanda un certain temps, pendant lequel sa poitrine remplissait ma vue et cette vue commençait à titiller ma tige, d’autant qu’elle savait que je la regardais. Elle s’assit dans un fauteuil en face de moi et nous avons devisé gentiment. Elle posa plusieurs fois sa tasse sur la table basse. Je pense qu’elle le faisait intentionnellement pour que je remplisse mes yeux de ses nénés. Plusieurs fois, également, elle croisa les jambes et, là chaque fois sa jupe remontait, et je m’aperçus alors qu’elle portait des bas fins, transparents couleur chair. Café terminé, tasses, cafetière, … sur un plateau, le tout direction la cuisine avec un balancement des hanches excitant au possible, ce qui se traduisit par une enflure au niveau de ma braguette. En revenant, elle vint tout naturellement s’assoir sur mes genoux et m’entourant de ses bras, se colla contre moi écrasant ses seins contre mon torse et sa bouche sur et même dans la mienne. De part et d’autre, baisers goulus, chauds, langue fouilleuse, dents mordillant lèvres et langue. J’avais réussi à glisser une main dans son dos sous la veste, mais celle ci étant tellement cintrée, je n’avais pas accès à grand chose, et j’hésitais encore à défaire les boutons de la veste. « Mes seins ne te plaisent plus ? Tu ne t’en occupes plus ? » « Oh, que si » et je ...
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