Le secret de Judith (2)
Datte: 15/11/2017,
Catégories:
Erotique,
... tailleur, à la droite de Solène. Je ne peux détacher mon regard de son magnifique corps nu. Elle me sourit, m’enveloppe de son regard bienveillant. Tellement calme… confiante… elle irradie de sérénité et d’amour… Solène gémit, se tord, contracte son vagin sur mon sexe. Elle le tient prisonnier de sa caverne d’amour… je vais et viens dans sa matrice… profondément, tout au fond, Solène crie doucement, à chaque poussée, chaque frottement sur ses parois intimes…. Je m’aperçois que Judith a passé une main sous le sein droit de sa petite-fille… Elle caresse doucement la parfaite petite pomme blanche et me regarde, toujours aussi rayonnante... Je vois sa main gauche plonger entre ses propres jambes… ********* Le beau Jeannot pénètre ma petite fille chérie, ma Solène, qui me ressemble tant… Il prend son sexe et son cul, calmement, consciencieusement, profondément, entièrement, amoureusement… Elle crie, elle gémit, elle rit, elle rêve, elle vole… je le sais… je le sens… Sa matrice est tout son être, son bonheur la submerge, ils ne font plus qu’un… Elle jouit… elle jouit… elle jouit !!!!! rhrttbf Et moi aussi… Ma main entre mes jambes…. ********* Mon Jeannot… mon amour…. comment m’as-tu fait ça ??? C’était fou…. Je ne touchais plus terre, je volais, ce ciel aux millions d’étoiles, avec toi, en moi, en toi, un seul corps…. Mon vagin qui débordait, ne cessait plus de t’inonder de mon jus, en longues giclées ininterrompues… Je sens ta semence… elle est chaude… elle dégouline…. tu me l’as ...
... encore offerte… à moi, rien qu’à moi… Tes secousses se confondaient avec les miennes… tu as hurlé… saisi mes fesses… griffées… Je sens encore ton bassin, ton pubis …. Ton sexe se détend. Il est toujours en moi, je le retiens…. Il glisse, petit à petit. Judith…. Judith… ma grand-mère adorée… comment as-tu osé… mon homme… mon Jeannot…. tu l’as guidé, vers moi, en moi…. Judith… où es-tu maintenant ??? ********* Je me retire du corps de Solène…. Je la relève, la prends dans mes bras, nous nous embrassons, nos langues et nos lèvres fusionnent, dansent et se mélangent, sans fin… Judith a disparu. Nous nous affalons sur le canapé. Solène est allongée sur mon corps, la tête dans le creux de mon épaule, une jambe entre les miennes… Nous restons là, nus, enlacés, fusionnés, sous les étoiles, dans la tiédeur de cette nuit d’été. ********* Je les regarde… de la fenêtre de ma chambre je les regarde. Les beaux enfants… tendrement enlacés, en la nuit… ********* Il fait nuit noire. Nous nous sommes endormis enlacés sur le canapé de la terrasse. Le froid m’a réveillée. Je me blottis encore plus contre mon homme, mais je sens qu’il va falloir nous lever et rejoindre ma chambre. La nuit est sublime, profonde. Une étoile filante traverse le ciel de temps à autre. Je frissonne. Je me lève. Jeannot se réveille aussi. Je lui prends la main et lui fais signe de me suivre. La maison est chaude. Ces vieilles bâtisses sont formidables... Nous montons l’escalier et passons devant la chambre de Judith. ...