A la découverte d'un monde inconnu : le cahier d'histoires (4)
Datte: 16/08/2021,
Catégories:
Lesbienne
... notre tête d’ados, Manu et moi n’échappons pas au « Bonsoir, carte d’identité, s’il vous plaît ». Nous présentons nos papiers. Jean-Mi leur indique que nous sommes accompagnés, et les deux monstres, une fois rassurés, nous laissent pénétrer. — Manu, tu as vu les deux vigiles ? Ils ne doivent pas rigoler tous les jours. — Oui… Quels monstres ! Je découvre la salle. La music de rock métal ou je ne sais quoi est forte ; mon ventre vibre au rythme des basses. Les projecteurs, les stroboscopes et les rayons des boules à facettes balayent la piste de danse en éclairant par saccades les corps qui gesticulent dans tous les sens. Mes yeux s’habituent à cette semi-obscurité. Je distingue des couples, mais surtout des filles court vêtues qui dansent, certaines torse nu, en string, et même complètement nues. Jean-Mi avait expliqué le sens de « boîte chaude » ; pour le coup, c’est chaud ! Moi aussi je commence à chauffer. Je m’imprègne de l’ambiance, commence à gesticuler, entraînant Manu sur la piste de danse. Nous nous déhanchons comme des pantins, puis arrive une série de slows. C’est la musique « collé-serré, je te tripote, bisous ». Donc bisous. Serrés l’un coutre l’autre, nous dégustons nos langues imprégnées du goût de fraise et de champagne ; de doux frissons me parcourent le dos, puis les fesses. Une main indiscrète tente de s’infiltrer dans l’encolure de ma robe, mais la taille trop serrée l’en empêche et je dois me contenter de caresses à travers le tissu. Mes deux mains ...
... malaxent généreusement les fesses de Manu. Nos bouches se séparent. Ma tête repose sur son épaule ; son parfum m’enivre. Je lui susurre à l’oreille : — Caresse-moi encore les fesses… — Je ne peux pas, ma main ne passe pas. Je sens la bosse dans son pantalon : ce n’est visiblement pas l’envie qui lui manque, à moins qu’elle ne soit due aux nanas à poil à côté de nous. — C’est moi ou les nanas qui t’excitent comme ça ? — Je crois que c’est les deux, me répond-il franchement. — Passe ta main sous ma robe et caresse-moi… lui dis-je en me frottant encore plus fort à lui. — Mais on va voir tes fesses ! Tu ne veux quand même pas finir à poil ? — Les fesses, je m’en fous. Et à poil, pourquoi pas ? — C’est de l’appel au viol ça ! — Venant de toi, je prends le risque. Je le plaque contre moi le plus fort possible, je veux sentir son sexe. Nos bouches se retrouvent ; une main me bloque la tête et l’autre est passée sous ma robe. Je ferme les yeux très fort et savoure ce moment de plaisir qui envahit le ventre ; ces gens autour de moi enlacés, ces filles nues me transportent dans un autre monde, le monde du plaisir. Je m’abandonne dans les bras de mon Manu. Je suis bien : ses caresses, son parfum, son souffle dans mon cou me remplissent de bonheur. Je suis de plus en plus excitée. Mon subconscient m’interpelle : « Tu es en train de devenir exhibitionniste et nympho, ma petite… » Je lui réponds sèchement : « Fous-moi la paix, je veux m’éclater ! » J’ai soif et j’ai chaud, aussi je propose à ...