La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°878)
Datte: 16/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Deux soumis appelés au Château – (suite de l'épisode précédent N°877) - La soirée s’est terminée dans le lit de mon Maître qui m’a offert une véritable nuit d’Amour et de câlins. Le lendemain à mon grand étonnement, je me réveille non pas dans la couche de Monsieur le Marquis mais dans une pièce que je connais pas et attachée sur une sorte de table, oui ligotée sur cette table, ne sachant à quelle sauce je vais être mangée. Après avoir été baisée par tous mes orifices et dans une nuit quasi orgiaque et fougueuse, je me suis assoupie à Ses côtés et voilà que je me réveille entravée, dans une position inédite pour moi, à moitié nue. Mais le plus surprenant, c’est cette femme qui m’observe, l’air sévère, juste en face de moi. Je reconnais la Domina de la veille. A ses côtés mon Maître me regarde également en me souriant. Je suis à plat ventre quand je me réveille de ce sommeil que j’aurais voulu plus long dans le creux de la poitrine de mon Maître. Une ou deux cordes font le tour de mon corps. Il me semble que je suis dans une cuisine, mais ce n’est pas la grande où officie Marie. Je crois que je repose sur un plan de travail disposé en îlot au centre de la pièce. Mon cou me fait mal. Ma tête est relevée par les cordages qui tirent sur mes épaules et rejoignent mes chevilles. Je suis obligée de plier les genoux, qui pendent de part et d’autres du plan de travail, et de lever les pieds. Mon cul ferme remonte d’une façon extrêmement obscène. Pour finir, mes bras sont liés dans ...
... mon dos. Je me sens impuissante, à la merci de ce couple de Dominants formé pour l’occasion et qui se trouve face à moi. Ils n’ont même pas pris la peine de me bâillonner. Mon Maître me connaissant a du estimer que cela n’était pas nécessaire. J’émerge peu à peu de ce sommeil qui s’évacue doucement. La femme s’approche de moi avec une paire de ciseaux. J’ai un peu peur. Je la sens près de mon cul. Je comprends qu’elle entaille mon petit slip, celui-ci a du être remis sur moi durant mon sommeil car dans le lit de mon Maître, j’étais nue comme le jour de ma naissance. Ca y est, je suis fesses nues. La Domina exhibe son trophée juste sous mes yeux et retourne derrière moi. Je ne suis pas très rassurée car je la sais perverse depuis qu’elle m’a utilisé la veille au soir. Je sens ses doigts qui glissent sur mon cul, s’insinuent dans ma raie. Elle écarte un peu les globes de mes fesses, pousse son index dans ma fente, débusque mon oeillet et fait tourner la pulpe de son doigt sur le pourtour de mon trou. J’ai honte, je gigote comme pour refouler ses caresses impudiques. Je ne peux rien faire, ligotée comme je le suis. Le Marquis d’Evans reste à bonne distance de nous et se contente de nous observer les bras croisés et la tête relevée. Je sens son regard dominateur qui pèse sur mon corps. Le doigt de la Domina se fait plus pressant. Elle en met deux maintenant et, à mon corps défendant, je remarque qu’elle m’émoustille. Je suis excitée quand je sens les premières gouttes de ma mouille ...