Ouvertures
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
plage,
bain,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
init,
confession,
prememois,
... relation, j’étais restée passive, lui laissant prendre possession de mon corps, comme une ville assiégée ouvrant ses portes à une armée à la fois redoutée et attendue. Par la suite, je fus plus réceptive et même entreprenante. Je répondais à ses caresses et à ses baisers fougueux. Bientôt, je pris son sexe en main, je le cajolai, le branlai doucement. Je voulais lui donner le même plaisir qu’il m’avait prodigué avec la bouche. Il m’initia à la fellation, me conseillant sur ce qu’il fallait faire et ne pas faire. Je suivais ses directives en amante soumise et attentive. Je prenais sa tige entre mes lèvres et allais et venais, glissant sur toute la longueur, j’agaçais le gland avec le bout de ma langue, je m’attaquais parfois à ses bourses que je voyais se mouvoir sous le coup de l’excitation. Comme je lui avais dit que je ne voulais pas avaler, Il me repoussait juste avant qu’il n’éjacule, souillant mon ventre et mes seins. Il innova en étalant son jus avec sa queue encore baveuse sur les pointes dressées de mes mamelons. Après cela, nous allions nous jeter dans la mer ou prendre une douche pour nettoyer toute trace. Parfois nous poursuivions nos jeux dans la mer ou sous les jets d’eau des sanitaires. Je le remercie de m’avoir si bien éduquée, me permettant de donner du plaisir à mes partenaires. Aucun n’a semblé ne pas y éprouver un grand plaisir. Pour nous les femmes, à certains moments, l’introduction d’un sexe dans nos muqueuses n’est pas toujours plaisante. La bouche ...
... est alors un bon substitut. De plus, une giclée de sperme dans la bouche, car depuis j’ai expérimenté et j’aime bien d’ailleurs, ne porte pas à conséquence : pas de grossesse et peu de risque d’attraper une maladie. Deux seules choses constituèrent pour nous des interdits. D’une part, je n’ai jamais avalé sa semence et lorsqu’il éjaculait sur moi, ce ne fut que sur le ventre et les seins, à aucun moment, même lorsque je le suçais, il ne visa mon visage. D’autre part, nous n’avons pas pratiqué la sodomie. Il était Allemand, mon bel Helmut, je le rappelle ; or, la sodomie est un fantasme et une demande masculine très française. J’ai entendu une call-girl québécoise, qui disait que si son client était de notre hexagone, elle était certaine à 90 % qu’il lui demanderait une pénétration anale. Chez ses autres clients, c’était beaucoup plus rare. Donc mon amant étranger ne me proposa pas un seul instant de me prendre par un autre orifice que mon vagin ou ma bouche. J’ai parlé de la douceur avec laquelle il faisait l’amour avec moi. Parfois il savait se montrer beaucoup plus brutal tout en étant attentif à mon plaisir. À chacune de nos joutes, j’ai joui entre ses bras. Une fois, il me prit en levrette avec rudesse et rapidité : mais là encore je connus l’extase. Il faut dire que c’était des moments où nous étions particulièrement excités. À la fin des vacances, nous avons dû nous quitter en étant persuadés que jamais nous ne nous reverrions. C’était mieux ainsi. Il m’avait appris ...