Ouvertures
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
plage,
bain,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
init,
confession,
prememois,
... séparation entre les hommes et les femmes, ou des petits box ouverts ne laissant que peu d’intimité. Nous optâmes pour la seconde solution, même si tous pouvaient nous voir. Je me dis qu’il allait en être ainsi pour tout dans le centre et qu’il valait mieux que je me lance le plus vite possible. Aussi, lorsque la douche fut prise, je revins à la tente avec seulement la serviette à la taille, les seins nus et une fois rendue, je laissai tomber le tissu : j’étais nue, n’ayant pas remis ma culotte de bain. Le lendemain pour me rendre à la plage, je ne portai qu’une robe légère sans rien en-dessous, ayant bien compris que, plus il y a de choses à enlever, plus c’était dur. Là, en un tour de main j’étais nue et je m’élançai tout de suite dans la mer. Je retrouvai le même bonheur que j’avais pu éprouver quelques mois auparavant. Avec mes deux copines et mon frère, nous chahutions dans les vagues dans la joie retrouvée, sans penser que nous sommes nus, trouvant même cet état jouissif, comme une liberté du corps et de l’âme oubliée. Nous nous poursuivions, plongions dans l’eau, surprenant l’autre… Nous ne faisions attention à rien, ne prenant pas garde à ce que nos positions et nos empoignades puissent donner un spectacle non obscène, mais émoustillant. Je m’aperçus que parfois, le sexe de Didier se gonflait. C’est certainement pour sa copine, mais aussi par le fait d’avoir autour de lui trois filles. Mais moi, je suis sa sœur, donc la seule avec qui il doit éviter tout ...
... attouchement. Mais nous sommes innocents dans ces jeux, sans rechercher la moindre perversion, lorsque sa main se posait sur un de mes seins ou sur mes fesses, c’est totalement fortuit. De même, lorsque ma main entrait en contact avec sa queue, c’était involontaire. Je le sentis d’ailleurs plusieurs fois gêné de ressentir une excitation visible. Je fis toujours mine de ne pas m’en apercevoir pour ne pas le mettre encore plus mal à l’aise. Isabelle, quant à elle, se permettait d’exciter habilement mon frère. Lorsqu’elle lui demandait, de retour sur la plage, d’étaler de la crème solaire sur son corps, il s’exécutait et immanquablement, il se retrouvait en érection. Car il ne s’agissait pas d’omettre une parcelle de peau de la belle : il devait enduire le corps côté pile et côté face. Ses mains s’aventuraient sur les épaules, le dos, les fesses, les cuisses et les mollets mais aussi l’intérieur des jambes et là, ses doigts en remontant entre les cuisses atteignaient la conque de la dulcinée. Lorsqu’il atteignait les poils, laissait-il ses doigts fureter dans les contrées intimes ? Ce n’est pas impossible, mais Isabelle laissait faire. Elle se retournait, jetait un œil sur l’état du sexe de son partenaire, souriait de l’effet produit et se rallongeait pour continuer le travail. Ce sont alors les seins qu’il devait caresser pour y faire pénétrer la crème, son ventre jusqu’à la limite de ses poils pubiens et enfin les jambes. Il restait le plus discret possible mais, en désespoir de cause, ...