1. Eloge de la nymphomanie


    Datte: 17/08/2021, Catégories: fhhh, freresoeur, grossexe, grosseins, hsoumis, fdomine, facial, Oral fsodo, conte,

    ... Prof récupère ses lunettes, et ils partent monter en haut pour se coucher. Il ne reste plus que cinq larrons à baiser. Ah non… quatre ! Le pauvre Simplet… Ligoté à l’arrière, il ne peut même pas se payer le luxe de se masturber. Car le spectacle qu’il vient de voir l’a également diablement excité… Blanche-Neige, titubante et encore très humide, se tourne vers Simplet. Lentement, elle s’avance vers lui, faisant rouler ses hanches pleines. Simplet est assis par terre, fermement ligoté sur un poteau en bois. Puis, elle s’agenouille, juste devant lui. Il ne peut pas la toucher, et pourtant il la regarde avec un œil fou. Son désir atteint son paroxysme et Blanche-Neige constate avec satisfaction que la boule formée dans le pantalon du nain est très grosse. Avec une infinie lenteur et sensualité, elle se met à se caresser les épaules et son cou ; puis elle passe à son visage, puis à ses cheveux, revient sur ses épaules pour finir sur ses mamelles. Ses mains, devenues glissantes avec le sperme de Prof, malaxent sans vergogne ses deux globes magnifiques, en passant plus de temps sur ses tétons aussi durs que du béton. Elle se met doucement à gémir… Cela devient insoutenable pour le pauvre Simplet, horriblement impuissant. Elle… Blanche-Neige, la vicieuse… elle regarde d’un air pervers le pauvre Simplet. Car elle aime ça, le voir être excité au plus haut point sans pouvoir rien faire. Elle aime ça, exciter et dominer ainsi une telle situation… Simplet s’agite et s’agite… ...
    ... Blanche-Neige approche un peu plus ses seins… un peu plus… jusqu’à quelques centimètres du visage de Simplet, les yeux exorbités… encore un peu plus… à la limite… — Regarde-moi ça, Simplet… Tu les as vus ? Tu aimerais, hein ? Tu aimerais bien me les toucher… La voix est chaude et sensuelle. — T’as envie de me sauter, hein… T’as envie de me défoncer le cul comme jamais… Les mains continuent les caresses brûlantes sur la plantureuse poitrine, à deux doigts du nez du pauvre Simplet, rouge comme une tomate. — Mmmh… Simplet, c’est tellement bon… tellement bon… Elle sourit, d’un sourire diabolique. Une lueur démente s’allume dans ses yeux. Selon un certain point de vue, ce jeu pervers lui fait bien plus d’effets que les jets de sperme de Prof sur sa face. La douleur d’autrui mêlée à son excitation… il n’y a rien de meilleur… tellement, qu’elle en jouit… — Oooh… Oooh… Simplet s’agite d’autant plus… — C’est inutile Simplet… Jamais… Jamais tu m’auras… Ooooooh… Dormeur, viens ! Le plus passif des sept nains s’approche en tremblant. Il est, comme ses quatre autres camarades restants, très excité. Selon l’ordre de Blanche-Neige, il s’allonge sur le dos, face à Simplet. Ensuite, la jeune fille lui prend sa chevelure et d’un geste violent, plaque la bouche du nain sur son sexe trempé et elle s’assoit sur sa poitrine. — Allez, Dormeur… Mange-moi, petit gourmand… Et la langue de Dormeur sort de sa bouche pour aller lui flatter ses lèvres. Dormeur, c’est le meilleur suceur au monde. Aucun ne le dépasse. ...