1. Découverte du plaisir


    Datte: 17/08/2021, Catégories: fh, jeunes, couleurs, grossexe, grosseins, vacances, plage, Oral pénétratio, init,

    ... long. C’est vrai qu’il est craquant ! L’ambiance est joyeuse, sympathique. Quelques verres achèvent de me griser. Thierry danse merveilleusement le rock. Je n’ai qu’à me laisser conduire. Un sourire enjôleur illumine son visage. Parfois, son regard coquin plonge dans mon chemisier. Aux rocks succèdent des danses antillaises. L’ambiance devient de plus en plus torride. Vers une heure du matin, il ne reste plus qu’une dizaine de couples, dont Nathalie qui semble bien s’éclater avec un autre garçon. Thierry a posé ses mains sur mes hanches et nous dansons pubis contre pubis au rythme d’une musique endiablée. Son regard ne quitte plus mon décolleté. — Il ne faut pas te gêner pour te rincer l’œil, espèce de canaillou !— Ils ont l’air si beaux ! Je rougis comme une pivoine. La pression de ses mains s’accentue. Je sens quelque chose de dur sous son short. Les paroles de Nathalie reviennent à mon esprit :« Profites-en, tu es mignonne, alors fonce ! Tu ne peux pas savoir comme les Antillais… avec lui… grimper aux rideaux… ». Aux danses antillaises succèdent les slows. Mon partenaire devient plus entreprenant et profite de l’obscurité pour glisser ses mains sous mon chemisier et caresser mon dos. Elles sont douces et fraîches ! Son souffle caresse ma nuque. J’ai très envie de ce garçon. Je me colle à lui. Une boule chaude a envahi mon bas-ventre. Je lui souris, et nos lèvres s’unissent pour un premier baiser qui n’en finit plus. Sa langue s’enroule autour de la mienne tandis que ses ...
    ... mains redescendent se poser sur ma croupe. — Tu ne veux pas faire un tour sur la plage ?— Si, bien sûr ! Nous cheminons un moment dans les vagues qui viennent mourir doucement sur la grève. Thierry se penche sur moi pour m’embrasser à nouveau langoureusement. Délicatement, il ôte un à un les boutons de mon chemisier, puis ceux de sa chemise. Un souffle d’air frais venu de la mer caresse nos corps à demi-dénudés. La pression de mes seins enfin contre ce poitrail d’ébène me fait frissonner. Nos langues s’entremêlent, puis ses mains redescendent, se glissent sous ma jupe, cajolent mes fesses. L’ivresse légère m’a délivrée de mes dernières réticences. La boule chaude dans mon bas-ventre est revenue. Je me colle à lui. La barre dure de son sexe est toujours présente. Mes mains explorent son dos, caressent sa nuque… Décidément, je me reconnais plus… — Viens chez moi ! Il me prend par la main, je le suis docilement. Mon cœur s’est mis à battre la chamade. La sensation de chaleur entre mes jambes s’accentue à mesure que nous nous approchons. Je me retrouve à l’intérieur, dos à la porte. Thierry achève de me débarrasser de mon chemisier. Ivre de désir, il m’embrasse goulûment. Je m’écrase contre lui, déformant mes seins sur ses pectoraux. Il descend une main comme il l’avait fait sur la piste de danse et recommence à me caresser les hanches. Je me sens toute chose, j’ai envie de me fondre en lui. Et toujours cette bosse énorme… Il abandonne mes lèvres pour pétrir mes mamelons durcis par ...
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