1. Recontre dans le RER


    Datte: 17/08/2021, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... dans cet ensemble » Stupéfaites, nous nous regardons avec Elodie qui semble aussi intéressée que moi de tenter l’expérience pendant que la vendeuse commence à nous caresser les seins. « Si vous avez envie de nous, commencez par nous sucer » lui ordonne Elodie. Surprise de ce ton péremptoire je sens la chaleur monter et avide de cette future situation, j’écarte les jambes., Elodie attrape la vendeuse par les cheveux et amène sa tête entre mes cuisses. Je me libère de mes strings et notre nouvelle partenaire commence à sucer mes poils en me caressant les fesses. Je sens mon clito grossir et je mouille de plus en plus. « Bouffe lui bien la chatte et fais-la jouir. Après tu t’occuperas de moi » ordonne à nouveau Elodie. L’aspiration de mon clito et les allers et venues de cette langue fouineuse ne tardent pas à me provoquer un premier orgasme qui me fait gémir violemment. « Viens avec moi maintenant salope. Tu voulais nous mater sur l’écran de ta vidéo hé bien, déshabille-moi, montre-moi ton corps sous ta robe, bouffe-moi les seins et descends vers ma chatte tu me boufferas ensuite le cul. Comment t’appelles-tu ? » « Marie » répond la vendeuse » « Marie salope vas-y, je t’attends » Marie s’approche d’Elodie dans une allure féline en faisant glisser lentement sa robe à terre. Ce spectacle m’excite au plus au point et je commence à me branler Marie se colle à Elodie avec un baiser d’affamée, lui arrache littéralement son corsage laissant jaillir une paire de seins ...
    ... telle que je les avais imaginés dans le RER La bouche de Marie descend lentement vers un mamelon dressé comme un dard et le titille goulument avec sa langue. « Tu me fais mouiller Marie descend sur ma chatte te bouffe moi le con. » Après avoir fait glisser la jupe de sa partenaire à terre, Marie s’affaire sur le clitoris. Ce doit être tellement bon qu’à chaque gémissement d’Elodie un jet de cyprine arrose la bouche de la salope. « C’est bon Marie continue je sens que je monte » N’en pouvant plus, je me rapproche de Marie pour lui caresser le cul et finis par lui entrer un doigt puis deux dans l’anus. Elle a tellement mouillé du cul que son orifice est grand ouvert et j’entreprends progressivement un fist jusqu’à lui mettre la main entière. « Vas-y Jade, ramone-la, défonce moi cette salope fais la jouir ». Ça ne tarde pas, Marie part dans une extase si violente en s’agrippant de toutes ses forces à Elodie, la tête toujours enfouie dans l’épaisse toison brune qu’elle part à la renverse nous entrainant toutes les trois sur la moquette de la cabine. Nous restons quelques instants étalés par terre les cuisses satisfaites et c’est Marie qui rompt ce bref instant de repos. « Bon, les filles, il faut se ressaisir je ne peux pas laisser le magasin plus longtemps fermé, la patronne viens souvent vers cette heure ci faire son petit tour. » Satisfaites de notre visite, nous nous rhabillons, en définitive J’achète la parure et nous nous quittons comme si de rien n’était. 
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