1. je trouve ma femme sur internet


    Datte: 18/08/2021, Catégories: Mature, Partouze / Groupe Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... et ses fesses… et maintenant sa chatte, probablement trempée.Enfin un petit dialogue me confirma toute la perversité contenue de mon épouse BCBG :« huuuuummmm, tu mouilles bien Jeannine »« ouais allez, vas-y branle bien nos queues, tu es bonne »« putain, sois salope, oui Jeannine, tu me fais bander »« que j’aime tes seins, c’est si bon »« ahhhhhhh ! vous bandez bien les gars »Elle extirpa d’elle-même, telle une experte (non pas comptable mais en bites), les deux queues encore emprisonnées dans les slips et les pantalons ; elle les dégagea caressant et soupesant les bourses au passage et se mit à les branler avec ses menottes douces mises en gouttières. Du coup, les bandaisons des deux gars s’amplifièrent sous ces caresses fines et appuyées de ma salope de femme manifestement aux anges de contempler les deux queues qui enflaient dans ses mains. Grâce à moi, devait-elle penser… ce qui n’était pas faux car les deux jeunes se laissaient faire en tendant leurs pubis pour mieux se prêter à la douce caresse sur leurs membres érigés.« Vous auriez pu nous attendre » clama haut et fort une voix sourde et basse, manifestement plus âgée (son patron probablement), alors qu’un nouvel angle d’image plus mobile vint enrichir le montage vidéo. Deux autres hommes, dont effectivement un plus âgé au crâne dégarni (le patron) affecté d’une superbe queue arc-boutée courbée comme un dauphin sortant de l’eau, entrèrent dans le jeu… dans la partie en cours… le deuxième (celui qui tenait la caméra ...
    ... mobile) devant être plus jeune… en tout cas, les deux nouveaux arrivants se mirent immédiatement à poil et tendirent leurs bites vers Jeannine pour qu’elle s’occupe aussi d’eux avec ses menottes expertes :« Allez Jeannine, laissez-les un peu, ils ont eu leur ration, à nous maintenant »Le vouvoiement ne laissait plus aucun doute : le « patron » était entré en scène ! Et comment ! Sa grosse bite ne tenait pas entière dans la main de ma femme, son gland hyper luisant et rose foncé sortait bien gonflé de la gouttière formée par le creux de la main de ma femme, alors que le dernier jeunot entrant revendiquait lui aussi tige tendue une caresse. Entourée par ces quatre bites bien vigoureuses, ma femme n’en abandonna aucune, quoiqu’elle conserva le plus souvent en main l’énorme poisson de son patron qui coulissait bien. Les autres gars, par alternance quand ils n’étaient pas branlés par ma salope, se frottaient contre ses bas, contre le nylon de sa culotte douce sur son cul et suçaient encore ses tétons durcis, la galochaient ou doigtaient sa chatte… quand soudain :« à genoux Jeannine, allez, sucez-nous tous les quatre comme une salope »Elle obéit illico, s’agenouilla et les quatre dards vinrent cerner son visage. Alors, à ma grande surprise mais aussi à ma grande joie surexcitée, elle s’empara frénétiquement des quatre belles queues tendues vers elle, elle embrassa les glands, les lécha, soupesa et caressa les couilles, les branla à tour de rôle sur toute la longueur, bouche à demi ...
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