1. Quand Margot devient chienne 14


    Datte: 18/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    ... Holà, holà, calmez-vous ma chère. De quoi parlez-vous ? Vous ne m’avez rien fait mais sachez que je n’ai pas à vous dire où je suis ni ce que je fais.- Oui, pardon Maître. Excusez-moi, mais je n’avais aucune nouvelle, vous ne m’aviez rien dit, je me posais tellement de questions.- Bon cela suffit ! Je ne vous dois rien alors restons-en là, au revoir.- Non ! Non ! Ne raccrochez pas ! Maître s’il vous plaît, dites-moi ce que je dois faire. Que voulez-vous ? Je ferai tout ce que vous voulez, mais ne me laissez pas je vous en supplie !- Tout ce que je veux ?- Oui ! je vous le promets je serais sage, obéissante.- Sur ?- Oui, sur ! Je le jure.- Bien, nous en reparlerons.- D’accord ! Oui, demain ?- Demain ?... Euh, non, demain je ne peux pas.- S’il vous plaît !- C’est ça que vous appelez être obéissante ? Au revoir.- Noooonnnn !!! J’obéis, j’obéis ! Quand vous voulez !- Bon, je vais voir, je vous rappelle plus tard, au revoir.- Au revoir Maître, merci.Malgré le stresse subit durant l’entretien, Margot se sentit toute ragaillardie. Elle se rua dans la salle de bain pour se rafraîchir sous la douche. Toute cette émotion l’avait fait transpirer et c’est sous la douche qu’elle était convaincue de retrouver la sérénité. Bien entendu elle ne pu s’empêcher de jouer avec la douchette et se fit jouir rien qu’avec le jet d’eau sur ses lèvres gonflées de désir.Le soir je la retrouvais toute pimpante, le sourire au lèvres (les autres), excitée, virevoltante et amoureuse. Elle me sauta au ...
    ... cou et me gratifia d’une fricassée de museau avant que j’aie pu poser mon attaché-case et ma veste.Une fois qu’elle me lâcha un peu et que je pu retrouver mon souffle, je lui demandais ce qui la rendait si gaie, alors que je le savais déjà, avisé par Bertrand. Elle m’annonça donc que « BHV » l’avait appelée mais sans entrer dans les détails de leur conversation qu’elle aurait d’ailleurs eu beaucoup de mal à m’expliquer. Elle me confirma qu’il allait la rappeler pour sans doute reprendre les séances de pose. Je lui répondais que tout rentrait dans l’ordre alors, et qu’elle avait eu tort de s’inquiéter et qu’il ne nous restait plus qu’à fêter dignement l’événement.De nouveau, Margot attendait à la porte du château que le larbin vienne lui ouvrir. « BHV » l’avait appelée la veille au soir. Il avait été laconique. Pas de fioriture, il avait juste dit qu’il fallait qu’elle soit là à dix heure pétantes. Il lui aurait donné rendez-vous au pôle nord qu’elle y serait allée. Elle attendait donc, le cœur battant la chamade comme une collégienne à sa toute première heure de cours. Son chemisier quasi transparent laissait deviner des tétons prêts à péter sous la tension. Rien sous sa micro jupe. D’ailleurs en voiture plus d’un routier avait dû se rincer l’œil car une fois assise elle avait la chatte complètement à l’air. Au bout de quelques instants qui lui paraissèrent un siècle la porte s’ouvrit.Margot ne jeta pas un œil au larbin et fila en direction de l’atelier du haut afin de se ...