1. Cet été là III


    Datte: 18/08/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... moi, qui me donna la force de m'exécuter. C'est d'un pas timide que j'avançais vers la porte d'entrée, traversant le hall nu comme un ver, des trainées de ma propre semence sur mon torse, sur mon cou, sur mon ventre. Je devais être rouge comme une pivoine mais je ne m'en rendais pas compte, Vincent me suivait de peu. Il rit même lorsque timidement je regardais par l'œilleton de la porte. quelle ne fut pas ma surprise réalisant qu'il s'agissait du grand roux de Johan. J'ouvris alors et le fit rentrer, Je crois qu'il rentra machinalement dans le hall et réalisa seulement une fois à l'intérieur ma nudité, celle de Vincent et mon état... Le roux était dans un état second comme tétanisé par la surprise de nous avoir trouvé nus comme au premier jour, ma peau striée de jets de sperme. J'étais moi même un peu déconnecté de la réalité et ne réalisa pas qu'en un instant le maitre des lieux avait non seulement refermé la porte mais déposé une bisou de bonjour sur la joue de Johan. Johan il était encore hagard de surprise, ce grand roux à la musculature prononcée était vêtu d'un T-shirt large blanc et bleu ainsi que de long shorts de basket. ne laissant voir que ses mollets recouvert d'un duvet roux. Il s'était mis instinctivement à bander et son érection déformait ses shorts. C'est Vincent qui brisa le silence. Le roux et moi avions les yeux rivés l'un sur l'autre, le rouge de mes joues devait être encore plus enflammé et nous étions là en silence à nous toiser, ne sachant ni lui ni moi ...
    ... que dire que faire. Par contre, Vincent lui avait son idée derrière la tête et en un instant ils nous surpris tout deux, poussant d'un geste ferme les shorts de Johan à ses pieds, révélant que le rouquin ne portait aucun sous vêtements. Il poussa un cri de surprise et instinctivement fit un pas en arrière se cognant le dos contre le mur du hall. Moi mon regard avait glissé droit sur son entrejambe et je la voyait là bien droite finissant de se gorger de sang, sa verge, assez longue et épaisse. La peau avait glissé légèrement en arrière et dévoilait la moitié d'un gland d'un rouge profond, presque violacé et il y avait cette touffe, cette forêt de poils pubiens roux qui m'hypnotisaient comme jamais. Un gémissement s'échappèrent de mes poumons lorsque des mains agrippèrent fermement mes épaules et qu'un pied d'accrocha ma jambe, me poussant vers le bas, me forçant presque à genoux. Il, ce diable de Vincent, se jouait encore de moi, jouait de moi "Dis bonjour à Johan." lâcha-t-il me plaquant la face contre l'entrejambe de ce dernier. J'aurais pu protester, j'aurais pu me pousser, me lancer en arrière, lui dire qu'il était con et tout mais.... non mon corps me dit d'agir autrement, me fit agir autrement... Mes narines étaient assaillies par cette odeur forte et puissance où se mêlaient fragrances intimes et une pointe de transpiration. Un mélange puissant et addictif, presque hypnotisant, celui d'un homme, d'un jeune homme d'à peine 17 ans chargé d'hormones. Il ne nous le révéla ...