Chapitre 2 : Démarcheur à domicile 2 " Petites culottes perdues "
Datte: 18/08/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... sueur et je déteste devoir courir en sentant le sperme couler le long de mes cuisses. Un jour quelques gouttes ont éclaboussé mes escarpins. J’ai eu peur que ma mère ne le remarque. - Attends, qui vient chez toi le samedi ? De la famille ou Émile ? On m’a dit… -On est un con ! Je n’ai rien avec Émile. Il a une toute petite quéquette, alors… il ne m’attire pas - Comment tu le sais, tu as essayé sa petite? Il te les faut donc tous. Et pourquoi pas moi ? Je baise mal ? Tu abuses de ton gode ? - Ne me parle pas de ça. Ne m’offre plus de truc comme ça. Si tu avais vu la tête de mon mari. Brrrrrrrr, il m’a fait peur. J’ai jeté le lapin à la poubelle pour le calmer. Il m’aurait tuée, le con. Encore plus étrange. Je lui ai fait peur ? Bien sûr que j’ai tiré la gueule à cause des oreilles de lapin; de là à tuer il y a un monde. Ma femme exagère dans l’euphorie de l’empoignade , m’invente des défauts : pour justifier sa conduite. Je serais un gros vilain con, je la terroriserais et elle, la sainte victime d’un détestable mari, s’envoie au ciel avec un autre dans une cabine de douche ! Putain, tu ne vaux pas une strangulation, ce soir je te vire. Pourtant je ferais bien une énorme colère à cause de tant d’hypocrisie ! Le lapin n’était pas le bienvenu, mais c’est elle qui l’a découpé. Dans la cabine la conversation reprend: - La prochaine fois je te paierai un œuf qu’on commande à distance. Tu te l’introduiras pendant les matches et moi je le ferai vibrer, je te ferai vibrer. Personne ...
... ne se doutera que tu jouis ! Tu me sens ? -Tais-toi et lime plus vite et plus fort. Il n’y a rien de tel qu’une bonne bite. Marion se répète, elle a dit la même chose en exécutant le lapin. D’ailleurs elle enchaîne : -Pour moi c’est fini les jouets. Si tu…ah ! Ne peux plus… tant pis…Je sens…ça vient… Ah…Ton doigt…sur mon clito. - Moi aussi, je pars. Ne bouge pas… plein le cul. Hrrran…Vite, sinon on va me chercher. Tu entends, on dirait qu’il y a quelqu’un. Chut… Gérard demande bien fort : - Y a quelqu’un ? Je réponds comme si je débarquais : - Oui, c’est moi, Jean, je cherche Marion. Tu ne sais pas où elle est ? - Mais si, elle est avec moi dans la douche ! Hé con, je blague, qu’est-ce que tu crois ? Héhéhé ! Non ! Elle est sortie du stade avec une copine. Le match est fini ? Qu’est-ce que tu fous là ? - Je suis blessé. Tu pourrais me ramener chez moi, je suis venu à pied mais j’ai trop mal pour marcher jusqu’à la maison. - Va à ma voiture. J’arrive dans cinq minutes. Je suis trop bouleversé pour affronter la vérité de face… Et puis non, j’ai des couilles ou je n’en ai pas. Je ne peux pas me laisser cocufier sans réaction. Je fais semblant de quitter le vestiaire, reste à l’intérieur mais flambe la porte. Rien de tel qu’un flagrant délit pour établir la vérité, aussi douloureuse soit-elle. Marion va apprendre de quel bois je me chauffe. - Jean, tu es parti ? Je ne réponds pas. Gérard reprend: - La voie est libre, on peut sortir. Vas-y en premier. Je garde ta culotte, fais ...