Aventure...
Datte: 18/08/2021,
Catégories:
fhh,
extracon,
cocus,
grossexe,
piscine,
Oral
pénétratio,
couple+h,
cocucont,
... partenaire qui n’imagine pas comment elle pourra contenir cet engin monstrueux en elle. Pour les autres, la situation n’est guère meilleure ! Sur son insistance, il lui expliqua, désespéré, son infortune avec les femmes. Pour celles qui passaient le cap de la première découverte, la situation n’était guère plus encourageante : lors de leurs premières relations amoureuses, tout mouvement un peu brusque ou trop prononcé finissait irrémédiablement par l’éjection de ce sexe au demeurant fort large, mais diablement court. La frustration ressentie alors par sa partenaire ne passait jamais le cap de la deuxième tentative. Devant son attitude démoralisée, mon épouse le persuada d’essayer encore et voulant lui prouver que c’était possible, elle décida de lui faire l’amour. Elle l’allongea sur l’herbe et, pour parfaitement contrôler la situation, elle prit, elle, les choses en mains ! Debout devant lui, elle se caressa d’abord longuement, laissant courir ses mains sur tout son corps, se pinçant les mamelons, glissant dans sa chatte pour en faire pointer le clitoris. Elle cherchait de cette manière à maintenir l’état d’excitation de notre ami (ce qui n’était pas difficile) mais surtout à faire mouiller parfaitement sa petite chatte pour permettre une lubrification suffisante de sa vulve et favoriser ainsi l’intromission de cet organe aux dimensions hors normes. Elle s’assit alors sur lui, jambes très écartées et s’aida de ses doigts pour faire pénétrer délicatement, mais de force ce ...
... sexe qui l’impressionnait tellement. C’est ainsi que je les surpris ! Je comprenais alors mieux le peu de mouvements exercés par ma femme : il s’agissait de ne pas le perdre. La connaissant, elle devait sûrement remplacer le mouvement ondulatoire de son bassin par un massage exercé par ses muscles pelviens autour de cette colonne de chair, massage dont je ne doutais aucunement du résultat. Je compris aussi bien mieux la gratitude de François après avoir joui : ce devait assurément pour lui être une de ses « premières » fois ! Je ne regrettais donc absolument pas mon attitude complaisante et pris mon épouse à bras le corps pour l’embrasser passionnément. Ce faisant, je glissai discrètement une main sous sa robe, main qui remonta jusqu’à sa petite culotte que je trouvai… détrempée de mouille ! — Alors, ma puce, ça t’excite tant, de nous raconter tes exploits ? Pourquoi ne pas nous faire profiter de tes charmes tous les deux, puisque nous sommes présents, et assurément très réceptifs à la poésie de ton beau corps. Et pour mieux l’engager sur cette voie, j’enserrai de ma main sa petite culotte que je retirai. À cet instant, et en réponse à ma démarche audacieuse, son baiser se fit plus passionné encore. Elle se plaça face à nous, dans la lumière tamisée de l’éclairage et fit lentement glisser sur ses épaules les bretelles de sa robe, accompagnant le tout d’un déhanchement lascif. La robe glissa lentement ; elle s’arrêta un instant avant de dévoiler ses petits seins dont les mamelons ...