1. Nuit de velours


    Datte: 18/08/2021, Catégories: f, fh, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, fantastiqu,

    Résumé de l’épisode précédent : Seule dans le canapé, emmitouflée dans un épais peignoir, elle pourrait enfin se détendre si la pensée du majordome mettant à sécher sa lingerie ne tracassait notre invitée. Tant et si bien qu’elle ne peut résister au désir qu’elle ressent… Les tapis étaient doux et tièdes sous ses pieds nus. À l’étage elle le savait, elle trouverait sa lingerie et pourrait la récupérer. Encore quelques marches. En se réveillant sur le canapé, Katia avait mis quelques instants à se souvenir de ce qu’elle faisait là. C’est finalement le contact du peignoir qui lui avait permis de se remémorer les évènements de la soirée. Quelqu’un avait éteint les lampes, et seul le feu mourant illuminait encore le salon. Dans cette maison inconnue, elle s’était soudain sentie oppressée, et avait décidé qu’il valait mieux retrouver ses affaires aussi vite que possible. Une maison n’était jamais vraiment silencieuse. Plus elle était ancienne, plus elle regorgeait de bruits divers, craquements de bois, véritable souffle de vie auquel ses habitants ne prêtaient généralement plus attention. Pourtant, Katia se mordit les lèvres quand son pied fit grincer le parquet une nouvelle fois. Cette maison était bien plus grande qu’elle n’en avait l’air et elle n’avait aucune envie d’être surprise en train de l’explorer, aussi s’efforçait-elle d’être aussi silencieuse que possible. Peut-être que cette porte était la bonne cette fois. La dernière s’était ouverte sur un débarras et en se ...
    ... trouvant nez à nez avec un mannequin affublé d’une cape poussiéreuse, elle avait cru mourir de frayeur. Doucement, sa main tourna la poignée de porcelaine. Un cri lointain la fit sursauter et lâcher la poignée. Cela venait de l’étage. Le cœur battant, elle écoutait, frissonnante. Comme rien ne venait plus troubler le silence nocturne, elle se prit à espérer qu’elle avait rêvé et saisit à nouveau la poignée. Un cri ! Cette fois elle se tourna vers l’escalier qui disparaissait dans la pénombre. C’était un cri de femme, elle l’aurait juré. Intriguée, elle gravit les marches sur la pointe des pieds pour découvrir que l’étage était encore plus sombre que le reste de la maison. Une main effleurant le mur pour se guider, elle s’immobilisa, cherchant à s’orienter. Le cri fut plus rauque cette fois et venait de sa droite. Refusant d’écouter son cœur qui battait sourdement dans sa poitrine, elle avança doucement jusqu’à la porte entrouverte, derrière laquelle un épais rideau de velours masquait la pièce. Un nouveau cri confirma son impression que cela venait de derrière. Katia n’aurait pas dû être là, elle le savait. Elle aurait dû rester en bas, et dormir sur le canapé. Mais les cris qui se répétaient aiguisaient sa curiosité. Retenant son souffle, elle tira doucement la porte, juste assez pour pouvoir effleurer le rideau, l’écarter légèrement, et jeter un regard dans la pièce pour savoir ce qui s’y passait. Tout d’abord elle ne vit rien, il faisait bien trop sombre. À peine pouvait-elle ...
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