1. C'est de la balle !


    Datte: 15/11/2017, Catégories: f, Masturbation jouet, humour,

    ~~oooOooo~~ Uniquement enveloppée de nuit, allongée sur son lit défait, la tête enfoncée dans l’épais oreiller de plumes, les genoux relevés, les draps repoussés en boule à ses pieds, les jambes largement écartées, Azénor se caressait la minette. Elle se lustrait de plus en plus fort, se patinait l’entrejambe de plus en plus frénétiquement, presque rageusement. Azénor sentait bien poindre l’illumination de la jouissance, annoncée par ces frétillements si familiers et sans équivoque au bout de ses orteils, elle sentait monter la chaleur au creux de son ventre palpitant, les gouttelettes de sueur perler aux replis de ses paupières… Ses abdominaux se tétanisèrent au point d’en être douloureux ; ainsi gainée à l’extrême, elle haletait bruyamment… Mais alors qu’elle se sentait enfin si proche d’aboutir à cette extase tant recherchée, la sensation, alors à son faîte, retomba brusquement, sans huit ni shunt, abandonnant l’espace à une sorte d’irritation diffuse et plutôt désagréable, qui la laissait vaguement pantelante dans son désir inassouvi. C’était déjà sa troisièmeescalade infructueuse pour ce soir, sa troisième tentative échouée dans la conquête du Mont Plaisir, unvol, comme disent les alpinistes… Azénor laissa retomber sa main, sur les côtés de son petit lit métallique. Frustrée, elle se tourna sur le côté. Elle était énervée, agacée, irritée. Azénor voulait à tout prix se faire jouir, elle n’y était pas parvenue, elle n’y parviendrait peut-être plus cette nuit… Sa main ...
    ... gauche fatiguée et pendante touchait presque le sol. Subrepticement, elle bougea les doigts, et ceux-ci butèrent sur une masse convexe qu’elle devina pelucheuse. Dans cette nuit éclairée par les seuls rayons blafards de la lune pleine, elle esquissa une moue de curiosité, se pencha un peu plus et saisit à tâtons ce qui avait intrigué son toucher : sortie d’on ne sait où, une balle de tennis avait roulé jusque là, une balle de tennis toute neuve, toute duveteuse, terriblement synthétique, un peu rêche, et en même temps… si douce… Azénor avança son bras et ramassa la balle du bout des doigts, la porta à son front ; doucement, elle la fit rouler le long de ses sourcils très fournis, sur ses paupières closes, autour de ses pommettes bombées, puis contre ses joues pleines et rosées, jusqu’aux ailes graciles de son petit nez retroussé. L’odeur de caoutchouc, si caractéristique, qui emplit alors ses narines lui fut à la fois écœurante et entêtante. Elle fit rouler l’objet sur ses lèvres finement ciselées, le long de son cou dans le dévers de son menton pointu puis, suivant le contour d’une clavicule, elle atteignit sa poitrine menue, faisant parcourir à la balle le pourtour de ses petits seins en pomme, jouant à la faire remonter jusque sur le téton redressé, à nouveau fièrement pointé. À son grand étonnement, Azénor sentit bien vite de véritables ondes de volupté remonter tout le long de son épine dorsale jusqu’au creux de sa nuque lorsqu’elle s’amusa à frotter la boule velue autour de ...
«1234»