L'imprévu a aussi son... charme ! - Histoires de Sexe

L'imprévu a aussi son... charme !

... m’empêcher de m’évader, me maintenant contre elle en gémissant : — Hummmm. Pourquoi Kris ? Pourquoi est-ce que c’est si bon, si doux ? On ne devrait pas… Ohhh… Oui, c’est trop doux, continue ! Mon dieu, oui… Encore ! Tes mains, ta bouche… C’est merveilleux ce qui m’arrive !— Tu es si belle, si désirable ! Je ne me serais pas crue capable d’une telle folie mais j’ai trop envie de ta peau, de ton corps, de toi ! répondis-je sans abandonner mes caresses. La ceinture du peignoir ne résista pas et c’est le corps totalement dénudé de mon amie qui s’offrit à mes yeux, à mes caresses, à mes baisers. Bien plus encore, c’est elle qui se cambra comme pour quémander le plaisir. Son ventre plat frémissait sous mes lèvres, ses cuisses s’ouvrirent doucement sous mes doigts et je glissai pour me retrouver à genoux entre ses jambes, le visage contre une jolie toison claire, semi épilée. La chair tendre, sensible de ses lèvres roses semblait appeler le plaisir. Du bout de la langue, j’ai effleuré l’entrée de sa grotte déjà humide de désir. Elle sursauta, comme sous l’effet d’une décharge électrique : — Hooo… Kris… C’est la première fois qu’une autre femme… Hummmm. Tu vas me rendre folle ! Ne t’arrête pas, s’il te plait, encore… ! Aime-moi ! J’ai trop envie ! Oui, comme ça… !— Oh Nat ! Ta peau est douce, tu sens bon… Je veux te caresser encore et encore, te donner tout le plaisir que tu mérites ! Je vais te manger, te déguster, te dévorer jusqu’à ce que tu jouisses très fort… ! C’est fou mais ...

... bien trop bon !— Oui, mange-moi, je suis toute à toi ! Hummmm… J’aime tout ce que tu me fais… Ahhhh… Tu vas me faire mourir… Ahhhh… Ohhhh… ! Ma langue a retrouvé la fleur palpitante de son sexe offert cette fois totalement. Du bout des doigts, j’ai ouvert lentement les fins pétales qui cachaient le bourgeon luisant pour le butiner longuement tout en enfonçant deux doigts juste à l’entrée du vagin pour appuyer par petits à coups sur le haut de son pubis, là où les chairs sont si sensibles. Ses cuisses, son ventre, ses hanches se sont mises à onduler au rythme de mes caresses. Brusquement, tout son corps s’est raidi, tendu en avant comme pour s’empaler plus encore sur mes doigts. D’une main, elle a plaqué mon visage sur son sexe béant tandis que son autre main torturait ses seins. Elle a jouit longuement, tétanisée par le plaisir, laissant échapper une plainte sourde : — Ohhhh… Krissssss… ! Hummmm… C’est trop… Tous ses muscles se sont relâchés, les yeux fermés, elle semblait évanouie, abandonnée… Longtemps encore j’ai couvert ce corps délicat de tendres caresses, longeant ses cuisses, son ventre, ses seins, ses joues. Dans ma tête, tout se mélangeait. Qu’est-ce qui m’avait pris ? Devais-je regretter ? Non ! Tout me guidait vers une suite encore plus douce, plus tendre, plus torride… Et c’est Nat qui m’a persuadée du contraire en ouvrant les yeux, me regardant tendrement avant de saisir mon visage entre ses mains si douces pour m’offrir un long et langoureux baiser qui remit le ...