1. weekend avec mon beau père et Max (2)


    Datte: 19/08/2021, Catégories: Zoophilie,

    ... dos, les cuisses ouvertes je me laissais faire. Marcel attira le cheval qui vint vite de lui-même. Le cheval était presque au-dessus de moi. Je pris la queue et je commençais à la faire glisser en moi. J’étais étroite pour lui, je dus forcer poussant un fort gémissement. Une fois introduit, je me mis à bouger les hanches, à le branler dans ma chatte. Il me remplissait. Je voulais le satisfaire. Les deux hommes se branlaient à côté de moi en fixant ma chatte. J’aurais voulu les accueillir tous les trois en même temps. L’étalon se mit à faire glisser son braquemard avec puissance, m’arrachant des cris de plaisir. Je voulais sentir son sperme chaud s’écouler en moi, me remplir comme une jument. Mon doigt glissa sur mon clitoris gonflé. Je me caressais sans aucune retenue, heureuse d’offrir ce spectacle à Jean et Marcel. Je jouis en hurlant de plaisir en même temps que le cheval. Je sentis son foutre me remplir, m’inonder et couler le long de ma raie du cul. Le cheval se retira et s’éloigna un peu. Marcel passa son doigt dans ma chatte et me fit gouter le sperme du cheval. Je léchais avec plaisir. Jean posa une tasse sous mes fesses, je me relevais ...
    ... un peu et je fis sortir une forte quantité de sperme. Il me tendit la tasse et je bus. — Va nettoyer la queue du cheval, m’ordonna Jean Je marchais jusqu’au cheval, et je m’accroupis devant la bite. J’écartais mes cuisses, laissant voir ma chatte baignée de sperme frais aux deux hommes. Je la nettoyais avec ma langue, bien comme il faut. Puis, je revins vers Marcel et Jean. — Mets-toi à genoux !! dit Marcel Je m’exécutai. Leur membre était prêt à exploser. Marcel le premier mis sa bite devant mon visage. Il se branla, du bout de la langue, je venais caresser le gland. Le sperme éclata sur mon visage et ruisselait. Je le nettoyai proprement. Jean ne me laissa rien faire. Il n’en pouvait plus. — Je t’ai vraiment appris à être une bonne chienne, une salope !! Tu es celle que j’ai le mieux éduquée. Il éclata sur ma langue, m’obligeant à sucer son gland à la fin de sa jouissance. Heureux, ils me relevèrent et m’embrassèrent en remerciement pour avoir était une bonne chienne. Pendant, le chemin du retour, le foutre de l’étalon continua de couler le long de mes jambes. Je trouvais ça délicieux et me dit que c’était une expérience parfaite, à recommencer. 
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