1. QUI L'EUT CRU X LENDEMAIN DE FETE ET LA FETE CONTINUE


    Datte: 15/11/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... rencontrer dans cette maison... et vous pourriez avoir la décence de ne pas vous promener en caleçon chez ma mère, vous n'êtes pas chez vous je vous rappelle ! Stéphane observe Alexandra debout dans la cuisine, elle porte le jean et le pull blanc torsadé qu'il lui a vu toute la journée, il la trouve magnifique ainsi. - Vous ne m'appréciez pas beaucoup j'ai l'impression. - Ce n'est pas qu'une impression...vous faites quoi avec ma mère au juste ? - Vous n'avez qu'à lui poser la question. - Elle n'a pas besoin d'un homme comme vous. - Qu'en savez-vous Alexandra des besoins de votre mère, et les vôtres de besoins, quels sont-ils ? - Salaud ! Stéphane in extremis, bloque la main d'Alexandra, juste avant que la magistrale claque qu'elle s'apprêtait à lui asséner ne l'atteigne. Il ne calcule plus, son instinct de mâle prend le dessus, ses lèvres s'écrasent sur celles d'Alexandra qui tente de lui résister. - Je sais que tu me veux petite salope, ce n'est pas la peine de te voiler la face, tu es exactement comme ta mère, tu as besoin qu'un vrai mec s'occupe de toi, caresses ma queue, je suis sûr que tu en meurs d'envie, dit-il en amenant sa main qui résiste sur son entrejambe. - Espèce d'ordure. - Vas y, cries, appelles ton mari si tu veux, dans trente secondes il est ici. -Salaud chuchote-t-elle cessant toute résistance en abandonnant soudain sa main que Stéphane s'empresse d'enfiler dans son caleçon. - Tu sens comme je suis déjà dur, je vais la mettre dans ta petite chatte de ...
    ... gentille maman et tu vas en redemander, crois-moi, je les connais les salopes de ton espèce. -Je te déteste. - C'est ça oui, en attendant branles moi, prépares ma queue ....voila oui ! Stéphane à son tour porte sa main à l'entrejambe d'Alexandra par dessus le jean. - hum ! - Voyez vous ça, madame Pet Sec a le minou tout sensible. - humm ! Il défait avec dextérité le bouton en métal argenté du jean et baisse le zip de la braguette, il aperçoit une culotte blanche, sa main s'insinue sous le sous vêtement, glisse sur la fine toison qu'il devine entretenue, ses doigts rencontrent le clitoris très gros qui darde à l'extérieur de son capuchon provoquant chez Alexandra comme des petites décharges électriques, deux doigts descendent entre les lèvres intimes desquelles s'écoule un flot de mouille. - Humm ! - File dans mon plumard et surtout n'oublie pas de te mettre à poil, je te rejoins ! Alexandra se demande ce qu'elle fait dans ce lit, sa raison lui dit de quitter cette chambre, mais une autre partie d'elle lui commande d'attendre, en dépit des risques, de toutes les conséquences, de la perversité de cette situation. Elle a bien entendu ses paroles, le doute n'est plus permis, il est l'amant de sa mère, elle est sous le choc, elle a l'impression que tout son monde s'écroule et pourtant elle est là, dans le lit de ce type, l'amant de sa mère et prête à s'offrir à lui comme une vulgaire pute, alors que toute sa famille dort à l'étage. Et le comble, c'est qu'elle éprouve de l'excitation, ...
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