1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 593)


    Datte: 19/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Pauline au Château - (suite de l'épisode précédent N°592) - Nous quittons la pièce, reprenons le long couloir, et rejoignons la voiture par l’impasse. Ayant compris, la leçon, je prends la direction du coffre, mais Walter me stoppe net dans mon mouvement, se place devant la porte arrière, et l’ouvre. Je ne comprends pas, mais je monte prudemment dans la grosse Berline noir, j’ignore si je dois me placer sur les sièges en cuir, ou si je dois rester à terre. Walter ayant compris mon questionnement, il tire sur la laisse me faisant comprendre que je devais m’asseoir sur la banquette en cuir. Je prends la position, confortablement installée, et par habitude je croise mes jambes. Face à mon geste, Walter abat sa main plate sur ma cuisse, laissant une empreinte rouge de ses épais doigts sur ma peau. Un cri m’échappe, tellement la frappe est forte et froide sur ma cuisse. Il force l’ouverture de celles-ci, se penche sur moi, et passe des liens métalliques reliés à la banquette, à chacune de mes chevilles. Les jambes ainsi immobilisées, il m’observe. - Tend tes bras au-dessus de ta tête. Etonnée, je m’exécute, m’attendant à me cogner contre le plafond de la voiture. Surprise, rien ne vient butter contre mes mains, seuls des liens en cuir suspendus frôlent ma peau. Rapidement, Walter me joint les deux poignets ensembles, et mes bras sont suspendus au plafond capitonné. Une fois de plus, je suis attachée, tel un objet. Il se penche à mon oreille : - Ne salit pas cette très belle ...
    ... banquette en cuir, cette voiture vaut une petite fortune... Puis, il me décroche la laisse pendant entre mes seins, tirant au passage sur le ruban rouge, ce qui a pour effet d’irradier mes tétons. Il finit par s’écarter de la porte, et je le vois retourner en direction du sexshop, laissant la porte ouverte. Je commence à paniquer, je suis attachée, nue dans une voiture, une porte ouverte, n’importe qui pourrait passer par là… L’attente est longue, je n’ai aucune idée du temps qui passe, la panique en moi, a fait place à un étrange sentiment d’excitation, et je suis même arrivée à espérer qu’un passant un peu vicieux me découvre. Mes idées chamboulent, je me sens devenir humide, une fois de plus. Sans prévenir, le plug entre mes entrailles, vient de prendre un mode de vibration un cran au-dessus. Je tourne la tête en direction de l’impasse, espérant voir Walter surgir de la porte, mais rien, personne. Je me demande quelle est la portée de cette télécommande… Une brise d’air fraiche vient caresser ma poitrine, je frissonne, ferme les yeux et profite de cet instant. Je m’imagine, étendue au soleil, sur une plage, nue, en présence de Monsieur le Marquis, qui fait courir ses doigts le long de mon dos... Un claquement de porte, me fait revenir à la réalité, je rouvre les yeux, et découvre, une femme à ma droite et un homme à ma gauche. Les deux arrivants, ont la soixantaine passée. Je les regarde, éberluée, oubliant ma nudité, ma situation, ne les connaissant pas et relevant la tête, ...
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