1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (16)


    Datte: 19/08/2021, Catégories: Transexuels

    ... particulièrement et qu’elle aime, qu’ils aiment, cette ambiance ou tous les interdits sont bannis. — Tu verras, me dit Maria, tu t’y feras et tu aimeras. — C’est nouveau pour moi, il va me falloir un temps d’adaptation. — Je t’aiderai. Me dit Malika. On t’aidera tous. J’ai été choqué au début, je voulais même partir et quand Émile m’a montré là où j’allais vivre, j’ai cru rêver. Ces maisons au luxe incroyable, Cette "famille" douce et accueillante, j’aurai été folle de m’enfuir de cette vie paradisiaque. Tu verras, on a plein de choses, des lieux, des gens à te faire découvrir. On va être bien tous les deux. Que répondre à ça. C’est vrai que je suis bien traitée et aimée. Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurai pas imaginé vivre cela. Me laisser aller à cette vie ou partir ? En avais-je le choix, l’envie ? Le choix, peut-être, l’envie certainement pas. — Oups, les filles, dit Maria, j’ai omis de vous dire que demain on part avec mon bateau pour une p’tite virée en Méditerranée... Elle n’a pas le temps de finir sa phrase que les deux chipies (comme les appelle Maria), lui sautent au cou et s’en vont vers les chambres. — Une clope, il me faut une clope. Dis-je en me levant. — Ne bouge pas, je t’apporte ça. Maria s’en va vers la cuisine. Putain qu’elle est belle. Ses fesses, ses jambes, sa poitrine, son visage et ses seins ne trahissent son âge. Elle doit forcément s’entretenir ou avoir un secret. Elle revient avec un paquet de la marque que je fume. Elle en tire deux ...
    ... cigarettes, m’en allume une avant de s’en allumer une. — Ça te gêne si je m’assois là ? Me demande-t-elle en montrant mes cuisses. — Non, je t’en prie... C’est à califourchon qu’elle se place face à moi. Elle me regarde en souriant. Seules les rides sur le haut de sa poitrine renseignent sur son âge. Son bronzage intégral la rend plus belle, plus désirable et sa chatte, que dire sur elle, rien, elle est parfaite. Ses seins sont en forme de poires juteuses. Ils tombent un peu, normal vu son âge. Comme attirée par ces beaux fruits, je les tète. — Hum... Coquine... Han... Je les lui mordille, les lèche. Elle me tient la tête plaquée d’une main ferme sur la nuque. Je la regarde d’en bas, elle a fermé les yeux. Je la soulève et la place sur le grand banc en teck. Ma bite trouve d’elle-même son chemin. Je m’enfonce en elle d’une facilité déconcertante. Je la regarde dans les yeux, elle prend son plaisir que je lui donne. J’aperçois Malika et Théna qui vaquent à leurs occupations sans nous déranger. En appuis sur ses épaules, j’accélère le rythme. Je ne serais pas bestiale, non, je veux l’aimer. Mes mouvements sont amples et virils. — HAN... HAN... OUI... OUI... Tu es une déesse Vanessa, tu vas... La vache que c’est bon... Tu vas me faire jouir... Non... Non... Je jouis, JE JOUIS... OUIIIIII... Elle se cambre et se raidit. Elle est dans une transe jouissive. Elle me regarde avec des yeux grands comme des billes. Des larmes de joies coulent sur ses joues. Je sens le plaisir monter le ...
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